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Peu de Français connaissent son nom, mais tous ont eu vent de ses exploits. Spencer Stone fait partie des trois « héros » américains à avoir maîtrisé Ayoub el-Khazzani, le terroriste du Thalys, en août 2015, et ainsi permis d'éviter un massacre. C'est donc aussi grâce à ces jeunes que l'accusé comparaît devant la cour d'assises depuis le 16 novembre. Un procès auquel les trois acolytes devaient participer en qualité de témoins. Mais un étrange problème de santé a frappé Spencer Stone juste avant son audition, ont révélé nos confrères de M6, mercredi 18 novembre 2020.
Le jeune Californien de 28 ans a en effet été hospitalisé dès son arrivée à l'aéroport parisien de Roissy-Charles-de-Gaulle. Le militaire de l'US Air Force aurait été victime d'un malaise que son entourage a qualifié de « très préoccupant ». Au vu des publications Instagram du jeune homme, le vol paraît pourtant s'être passé sans encombre : Spencer Stone s'est filmé dans un avion quasiment vide en raison de l'épidémie de nouveau coronavirus. Il a même été invité à visiter le cockpit au côté de son compatriote Anthony Sadler, autre « héros du Thalys ».
Poignardé en 2015
M6 révèle également qu'un autre témoin pourrait ne pas arriver jusqu'à la barre de la cour d'assises spéciale de Paris. Aleksander Skarlatos, ancien militaire américain, n'a en effet pas pu embarquer dans son avion à Dallas faute d'avoir pu présenter un test Covid. Il devrait néanmoins pouvoir être auditionné en temps et en heure en se soumettant au test avant de prendre un autre avion, espère encore maître de Montbrial, l'avocat de Spencer Stone.
Spencer Stone n'en est, quant à lui, pas à son premier coup du sort. Le militaire avait en effet a été poignardé en octobre 2015 à Sacramento, en Californie, alors qu'il tentait apparemment de porter secours à une femme harcelée à la sortie d'un bar. Gravement blessé, il avait subi une opération de « plusieurs heures ».
Ils ont ete intimidés par des messages ou des Tweets de Daech, leur intimant l’ordre de ne pas témoigner, ou alors, c’est totalement incompréhensible.
P'te ben que Tayyip a emprunté du Novitchok à Vlad dans le cadre de son non combat contre IS pour traiter ce témoin fâcheux. Chi lo so...
Il a reçu un coup de fil, d'une belle-mère en deuil mais très médiatique... Du coup, imaginant l'erreur de procès possible, pour la première fois de sa vie, il a pris peur !