L’Autriche veut faire de l’islam politique un délit pénal
Le chancelier Sebastian Kurz durcit des mesures déjà sévères, en simplifiant notamment la fermeture de mosquées, un mois après l’attentat de Vienne.
Il y a exactement un mois que le centre de la capitale autrichienne a été le théâtre d’un attentat perpétré par un terroriste solitaire. Son parcours funeste a ôté la vie à quatre passants et blessé une vingtaine d’autres. L’enquête a rapidement déterminé que l’assaillant était un Autrichien de 21 ans, sorti de prison en décembre dernier après avoir été arrêté en 2018 en Turquie alors qu’il tentait de rejoindre les combattants de l’État islamique en Syrie.
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Pour le chancelier Sebastian Kurz, initiateur avec Emmanuel Macron d’un débat sur la lutte contre le terrorisme islamique au niveau européen, le combat ne se fera pas sans s’attaquer à l’islam politique, un de ses chevaux de bataille depuis plusieurs années. Rattrapé par les événements et par les ratés des services de renseignement autrichiens - la police slovaque avait en effet signalé en juillet que l’auteur de l’attaque avait essayé d’acheter des munitions sur ton territoire -, Sebastian Kurz a annoncé en novembre des mesures sévères…
MICHEL BARTOLINI
le
Venez en France faire la loi
debout les morts
le
Bravo l'Autriche , Excellent , Sebastien Kurz venez diriger la France....vite !
Zitha
le
Il a raison et doit persévérer pour arriver à ses fins, légitimes. Et si cela grince des dents à Bruxelles,
qu´ils sortent de leurs bureaux et expliquent clairement pourquoi ils s´y opposent.