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Soudain, son portable se met à vibrer, sans discontinuer. Des journalistes insistent pour la joindre. Anne Hidalgo, qui a pris quelques jours pour souffler dans son appartement du 15e arrondissement de Paris, a l'esprit loin du Covid-19 et de sa pré-campagne pour la présidentielle. En ce jeudi soir de vacances scolaires, elle n'a pas entendu son premier adjoint Emmanuel Grégoire réclamer sur France Info un confinement strict de trois semaines de la capitale afin d'en finir avec les « demi-mesures » du gouvernement. Sur son smartphone, elle voit s'afficher l'alerte de l'AFP. La grenade est dégoupillée, et l'effet blast menace de l'emporter.
« Elle était furax », raconte un membre du premier cercle. Sans attendre, Anne Hidalgo appelle Emmanuel Grégoire. « Il faut que tu précises que ce n'e...
J espère que A H a bien compris qu elle n a pas les épaules pour être chef (de l état) on a du l aider un peu... Il ne suffit pas d être ambitieux ’se...
Le meme comportement à la mairie de Paris et au gouvernement Macron, la meme jactance des seconds couteaux, les memes dénégations etc. Etc.
On voit tout de suite le genre de personnage, et le style de l'équipe qui com à tout va pour faire le buzz, a la prétention de se présenter aux présidentielles
Comparer Hidalgo à Merkel faut oser et bien mal connaître le parcours de la chancelière ! Un peut comme comparer Groucho à Karl Marx...