Leur maison de famille est investie illégalement par des demandeurs d'asile depuis sept mois et ils n'arrivent pas à en reprendre possession.
Alors, le cortège s'est réuni au pont de la gare et s'est arrêté à quelques centaines de mètres face à la villa squattée.
D'une même voix, la foule a chanté la Marseillaise et montré son soutien face à une situation qui fait débat.
"Le juge a ordonné, en 2020, l'expulsion des familles installées illégalement dans notre maison et le préfet ne l'a pas exécuté. Il n'a rien fait", explique le propriétaire des lieux, soulagé de voir une mobilisation de telle ampleur.
"Alors nous sommes tous là pour montrer que nous ne lâcherons pas l'affaire. Que cela peut nous arriver à tous et que ce n'est pas normal que nous soyons ceux qui payent les pots cassés tandis qu'eux sont protégés!"
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