Orange s’engage pour le climat

Des sols stériles qui crient soif, des eaux qui montent, des inondations et incendies ravageurs…le dérèglement climatique nous affecte tous et hypothèque l’avenir de nos enfants. 5 ans après l’accord de Paris, le premier accord mondial sur le climat et la lutte contre le réchauffement climatique, il n’est plus possible d’ignorer l’urgence !
Elizabeth Tchoungui, Directrice exécutive RSE, Diversité et Solidarité du Groupe Orange.
Elizabeth Tchoungui, Directrice exécutive RSE, Diversité et Solidarité du Groupe Orange. (Crédits : DR)

Stéphane Richard, PDG d'Orange, considère qu'il ne peut y avoir de performance économique sans exemplarité sociale et environnementale. Une conviction partagée par l'ensemble des parties prenantes du Groupe.

Aussi, Orange mène de front deux démarches depuis de nombreuses années : la première consiste à réduire sa propre empreinte environnementale et la deuxième est d'aider ses clients, particuliers et entreprises, collectivités ainsi que les autres secteurs à réduire la leur. En 2019, chez Orange cela a conduit à une réduction de l'ensemble des émissions de CO2 par usage client de 64,2 % par rapport à 2006. Fin 2019, Orange a pris l'engagement d'être Net Zéro Carbone d'ici à 2040. Pour cela, plusieurs leviers sont activés : l'amélioration de l'efficacité énergétique des réseaux, qui représentent à eux seuls 80% des émissions ; la diminution de la consommation énergétique des bâtiments et véhicules ; le recours aux énergies renouvelables ; le développement de l'économie circulaire ; l'engagement de ses fournisseurs sur leurs propres émissions. L'efficacité énergétique et le recours aux énergies renouvelables ont permis, en 2019, en dépit de l'augmentation du trafic sur les réseaux de l'opérateur, une diminution de 4,2 % des émissions de CO2 par rapport à 2018.

Orange prévoit également de recourir aux puits carbone, des réservoirs naturels qui absorbent du carbone en circulation dans la biosphère et qui participent au développement local comme à la préservation de la biodiversité.

Le numérique est une grande partie de la solution

Le secteur du numérique ne représente qu'une petite partie des émissions mondiales de CO2 : 3,5%[1]. Il serait aisé pour un acteur du digital de balayer exclusivement devant sa porte. La responsabilité d'Orange, en tant qu'opérateur engagé, va au-delà, convaincu qu'en matière de lutte contre le réchauffement climatique, le numérique est une petite partie du problème, mais surtout une grande partie de la solution.

Les chefs d'Etat du G20 ont encore rappelé, lors du One Planet Summit le 22 novembre 2020, le rôle incontournable du numérique comme facteur de développement durable. En effet, le numérique contribue à la transition écologique et énergétique : pour chaque unité de CO2 émise par un réseau mobile, 10 unités de CO2 sont épargnées dans les autres secteurs [Réf. Etude de Carbon Trust pour la GSMA - « The Enablement Effect »].

Ainsi, Orange conçoit et développe des services et des solutions pour favoriser des alternatives durables, en matière de villes intelligentes, d'optimisation énergétique, de mobilité écoresponsable, etc. Ces technologies numériques contribuent à améliorer la performance opérationnelle tout en allégeant l'empreinte carbone de ses entreprises clientes. C'est un vaste champ d'innovation et de progrès durable.

Pour aller plus loin :

[1] hors déforestation et changement d'affectation des sols, étude Lunden-Malmödin, et Agence Internationale de l'Energie

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