Tour de France: Tadej Pogacar à l’heure du soupçon
ANALYSE - Après son coup de force dans les Alpes, le tenant du titre slovène va porter sa domination comme une croix jusqu’à Paris.
À Tignes,
Samedi midi, au bord du lac d’Annecy, avant que Tadej Pogacar ne se lance dans son opération de destruction massive, Clément Chevrier racontait pourquoi, poussé par la pandémie, il avait abandonné son métier de cycliste pour devenir sommelier à l’Auberge du Père Bise, de Jean Sulpice. «Le cyclisme professionnel est devenu un métier plus qu’à plein temps, il ne laisse la place à rien d’autre, à aucune autre passion», regrettait-il. Et d’évoquer cette nouvelle approche intégriste du vélo qui donne lieu à «pas mal de burn-out».
On lui demandait quel vin lui rappelait Tadej Pogacar, archétype de ces jeunes champions new age et, sourire en coin, l’ancien coureur de l’équipe AG2R évoquait un petit vin blanc inconnu qui, voilà deux ans, dans un test à l’aveugle, avait surclassé les grands crus les plus aguerris de la même manière que le prodige slovène a anéanti un à un tous les coureurs du Tour de France ce week-end dans les Alpes.
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pertinax 2
le
Peut-on rappeler qu'on n'a rien trouvé chez Armstrong, il a simplement été dénoncé.
Anonyme
le
Les slovènes produisent des cyclistes hors normes depuis quelques années...
Encore des produits TOP chimiques.
Pogastrong
Sacroton
le
Moi je crois surtout que Pagacar a une recette du Coca que les autres n'ont pas.