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Né le 14 avril 1452 à Vinci, en Italie, Léonard de Vinci est décédé le 2 mai 1519 à Amboise, en France. L’artiste n’avait alors aucun descendant direct connu : jamais marié, il n’avait, officiellement, aucun enfant. Pourtant, près de 500 ans plus tard, Alessandro Vezzosi et Agnese Sabato, deux historiens italiens, ont réussi à trouver… 14 descendants directs du peintre de La Joconde. The Guardian et Le Parisien expliquent qu’une étude sur la famille de Léonard de Vinci, qui comptait 22 demi-frères, a permis de reconstituer l’arbre généalogique de celle-ci sur 21 générations.
Ils ont remonté la lignée à partir de Michele Da Vinci, grand-père de Léonard de Vinci, né en 1331, en se basant sur des registres historiques ou des analyses ADN. « En 2016, nous avions déjà identifié 35 descendants vivants de Léonard de Vinci, mais ils étaient pour la plupart indirects », expliquent les historiens à l’agence de presse ANSA. « Ce n’étaient donc pas des gens qui pouvaient nous donner des informations utiles sur l’ADN de Léonard et en particulier sur le chromosome Y, qui se transmet de père en fils », ajoutent-ils.
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Âgés de 1 à 85 ans
Car c’est bien là le but de leurs recherches : tenter de comprendre le génie de celui qui fut tantôt un scientifique, tantôt un peintre, ou encore un inventeur, un philosophe ou un musicien, en analysant l’ADN de ses descendants, notamment ce fameux chromosome Y, qui serait resté inchangé sur 25 générations, assure Alessandro Vezzosi. L’ADN de ces personnes, âgées « de 1 à 85 ans et vivant dans les communes voisines de Vinci », va maintenant être analysé dans les prochains mois, en comparant leur chromosome Y à celui de leurs ancêtres. De quoi peut-être permettre d’en apprendre un peu plus sur Léonard de Vinci : des informations sur sa taille ou de potentielles maladies héréditaires pourraient ressortir de ces recherches.
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Article mal ficelé, l’auteur ayant résumé ceux du Parisien et du Gardian, sans rien y comprendre (et ces derniers pas plus d’ailleurs).
Je me permets modestement de « traduire » :
- ces chercheurs italiens ont fait un remarquable travail de généalogie, en cherchant, à partir des sources classiques (état civil, archives notariales, etc. ) le plus de descendants actuels du grand-père paternel de Léonard
- ils n’ont évidemment pas trouvé de descendants de Léonard lui même, et pour cause... Ceux qu’ils (ou que les journalistes) appellent « descendants » sont les descendants du grand père. Ceux qu’ils appellent « descendants directs » sont les descendants de père en fils.
La où ça devient à peu près n’importe quoi, c’est quand ils vont croiser les données généalogiques avec celles issues des prélèvements d’ADN des « descendants ». Pour au moins deux raisons :
- Sur autant de générations, la probabilité pour un descendant « officiel » de descendre effectivement du grand père de Léonard est faible (a peine 30% avec un taux de 5% de ne pas être le fils de son père).
- Surtout, même en retrouvant quelques descendants directs partageant le même chromosome Y, ils ne vont rien pouvoir en conclure. Le génie de Leonard, si tant est que pour une part au moins sa source soit dans son ADN, résultait d’une multitude de gènes, et pas uniquement de ce fameux Y...
Bref ils n’ont pas trouvé de descendants de Léonard, et n’ont encore rien croisé avec des données génétiques... Je suis curieux de voir les conclusions de cette étude à venir !
Pas d'enfants mais des descendants...
Il était surdoué ! ! !
La nouvelle marotte de quelques illumines super-riches.
La nouvelle humanité où à coup de genie génétique, on pourra se payer de super-yeux, du talent, des soldats sur mesure.
A quoi servent donc toutes les bases de données mondiales que se cree google a coups de tests adn « pour connaitre ses origines » ?
Paye t on des fortunes pour savoir si un homme mort il y a plusieurs siècles pouvait avoir des maladies ?
Non, on peut pouvoir reproduire le « gene » de son genie et le revendre.