En français, il y a plus de mots d’origine arabe que de mots d’origine gauloise

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La statue de Vercingetorix .

La statue de Vercingetorix . NICOLAS THIBAUT / PHOTONONSTOP VIA AFP

Histoires inattendues

Cow-boys noirs, Allemands maquisards… Dans ce podcast, François Reynaert explore les faits méconnus et pourtant vrais qui racontent l’histoire autrement. Abonnez-vous sur Apple Podcasts ou sur Google Podcasts.

Ouvrons donc un dictionnaire et faisons le compte. Quels sont, dans notre langue, les noms qui nous viennent des langues gauloises ? Alouette, chat-huant, suie… Il y en a environ 150 comme ceux-là, toujours connus, bien sûr, mais souvent aussi d’un usage plutôt rare. Voyons maintenant ceux qui nous viennent de l’arabe : abricot, alcool, bougie, sucre, zéro. Près de 500, et, le plus souvent, d’un usage si courant qu’on a oublié d’où ils venaient. Comment expliquer ce mystère ? Faut-il alerter la fachosphère ? L’extrême droite doit-elle se dresser contre un « grand remplacement » linguistique ? sûrement pas. Il suffit de se pencher dans l’histoire passionnante du français pour comprendre l’origine de ce phénomène. François Reynaert nous explique tout cela dans son nouveau podcast.

Ce podcast a été réalisé par Julien Bouisset. Un texte de François Reynaert sur une musique de Godmode. Direction éditoriale, Matthieu Aron.

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