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Débatteurs lilliputiens
Aura-t-on droit à des débats télé entre candidats à la présidentielle avant le premier tour, innovation de la campagne de 2017 ? Pas sûr, malgré les propales de toutes les chaînes, notamment du fait de la volonté d’un Emmanuel Macron désormais sortant de ne pas s’offrir en proie à tous ses prédateurs d’opposition réunis. Mais d’autres prétendants n’ont pas envie de débattre avec n’importe qui non plus. «Jean-Luc Mélenchon veut bien débattre, mais pas avec “les nains de gauche”, comme il le fait savoir autour de lui», explique ainsi un dirigeant de l’audiovisuel au Figaro. Sympa pour les intéressés, dont les candidatures ont déjà été qualifiées de «lilliputiennes» par François Hollande. Le même patron ajoute que «Valérie Pécresse préfère attendre de savoir qui aura les 500 signatures de parrainage, en mars» avant d’accepter une invitation.
Une seule solution, l’expropriation
Visé par des accusations de maltraitance dans un livre paru ce mercredi,