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Dijon : un adolescent de 16 ans agressé au couteau devant son lycée

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Un élève de 16 ans, scolarisé au lycée Hippolyte-Fontaine à Dijon, a été agressé au couteau par un groupe de plusieurs individus ce mardi 1er février aux alentours de 10 heures. L’élève blessé a été transporté aux urgences pédiatriques du CHU de Dijon. Son pronostic vital n’est pas engagé.

Le Lycée Hyppolite Fontaine de Dijon où a eu lieu l'agression Le Lycée Hyppolite Fontaine de Dijon où a eu lieu l'agression
Le Lycée Hyppolite Fontaine de Dijon où a eu lieu l'agression - Google Maps

L'agression s'est déroulée ce mardi 1er février vers 10 heures au lycée Hippolyte Fontaine à Dijon. Un élève de 16 ans scolarisé dans l'établissement a quitté l’établissement au moment de la pause et y est revenu en courant, poursuivi par un groupe d’individus qui lui ont asséné plusieurs coups de couteau . 

Une enquête en cours pour retrouver les agresseurs

Il a réussi à regagner l’établissement et a été pris en charge par l’infirmerie. Les services de police et de secours sont immédiatement intervenus. L’élève blessé a été transporté aux urgences pédiatriques du CHU de Dijon. Son pronostic vital n’est pas engagé. Les agresseurs sont en fuite, aucune interpellation n'a eu lieu pour l'instant, mais les caméras du lycée sont en cours d'exploitation. 

Des membres du personnel dont la principale Adjointe filtraient les entrées du lycée après l'agression ce mardi 1er février
Des membres du personnel dont la principale Adjointe filtraient les entrées du lycée après l'agression ce mardi 1er février © Radio France - Thomas Nougaillon

Une rivalité entre quartiers ? 

Selon un témoin de la scène interrogé par France Bleu Bourgogne, la victime serait originaire de Chenôve et ses agresseurs seraient issus d'un autre quartier dijonnais, la Fontaine d'Ouche. Ce ne serait d'ailleurs pas le premier incident entre des jeunes de ces deux quartiers de l'agglomération dijonnaise, rapporte ce même témoin.  

Une cellule d'écoute mise en place dans l'établissement

La cellule d’urgence médico-psychologique de la préfecture ainsi que la cellule d’écoute psychologique de l’Éducation nationale se rendent sur place : la première assurera la prise en charge des témoins les plus choqués, et la seconde animera des groupes de parole pour celles et ceux qui en exprimeront le besoin. Une enquête de flagrance est conduite sous l’autorité du procureur de la République

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