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Marine Le Pen sent "un espoir" se "lever"

Marine Le Pen, candidate RN à la présidentielle, lors d'une visite sur le marché de Haguenau (Bas-Rhin) le 1er avril 2022

Marine Le Pen, candidate RN à la présidentielle, lors d'une visite sur le marché de Haguenau (Bas-Rhin) le 1er avril 2022 - SEBASTIEN BOZON © 2019 AFP

Moins de dix jours avant le premier tour de l'élection présidentielle, la campagne accélère. Éric Zemmour est en déplacement à Rungis à la rencontre de "la France qui se lève tôt". Marine Le Pen et Valérie Pécresse tiendront des meetings ce vendredi soir.

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L'ancien patron de la CGT Bernard Thibault appelle à voter pour Fabien Roussel

L'ancien dirigeant de la CGT Bernard Thibault "appelle à voter pour Fabien Roussel", le candidat communiste à l'élection présidentielle, dans une vidéo transmise vendredi par l'équipe du candidat à l'AFP.

"Je vais voter pour Fabien Roussel et j'appelle à voter pour Fabien Roussel", affirme l'ex-secrétaire général de la CGT, en poste de 1999 à 2013. "Les jours heureux au moins c'est séduisant, c'est prometteur, c'est dynamique" affirme-t-il face caméra, invoquant le slogan de campagne du candidat du PCF, actuellement autour de 3% des intentions de vote dans les sondages.

L'ancien patron charismatique de la CGT fustige "tous ceux qui nous promettent au contraire des jours malheureux, ternes, gris, les oppositions, des crispations" alors que plusieurs candidats dont Emmanuel Macron, Valérie Pécresse ou Eric Zemmour proposent notamment de repousser l'âge de la retraite à 64 ou 65 ans.

L'ex-patronne de la CFDT Nicole Notat apporte son soutien à Emmanuel Macron

L'ancienne patronne de la CFDT Nicole Notat, qui a animé le "Ségur de la Santé" en 2020, a apporté vendredi son soutien à Emmanuel Macron pour la présidentielle, comme elle l'avait fait il y a cinq ans.

"Comme en 2017, je voterai le 10 avril pour Emmanuel Macron et lui renouvelle ma confiance", indique celle qui fut la secrétaire générale de la CFDT de 1992 à 2002 dans un communiqué transmis à l'AFP.

"À l'épreuve des crises qui ont pesé sur son quinquennat, il s'est forgé une stature d'homme d'Etat et démontré un engagement européen sans faille", ajoute l'ex-dirigeante syndicale de 74 ans.

"Face à l'exacerbation des inquiétudes que soulèvent les défis géostratégiques, économiques, écologiques et sociaux il est à mes yeux le mieux placé pour construire les solutions et les compromis appropriés dans un dialogue exigeant et renouvelé avec les forces vives du pays", poursuit le communiqué.

Yannick Jadot propose la création d'un statut de "déplacé climatique"

Le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot a proposé vendredi la création d'un statut de "déplacé climatique" pour les personnes qui doivent quitter leur pays pour des raisons environnementales, lors d'une audition par plusieurs associations.

Interrogé à une semaine du premier tour (10 avril) de l'élection présidentielle sur la notion de "réfugié climatique", qui n'existe pas en droit actuellement, Yannick Jadot a balayé cette option qui nécessiterait de modifier la convention de Genève encadrant le statut de réfugié.

"Pour nous, la solution, c'est d'avoir une convention internationale (...) qui leur donne un statut, notamment en ayant des visas humanitaires", afin d'aboutir à la "reconnaissance du statut de déplacé climatique", a-t-il expliqué devant une vingtaine d'associations qui interviennent auprès des exilés.

> Notre article complet est à retrouver ici.

Jean-Marc Ayrault soutient "totalement" Anne Hidalgo

L'ex-Premier ministre socialiste Jean-Marc Ayrault a affiché vendredi à Nantes son soutien "total" à la candidate du PS Anne Hidalgo, saluant "son courage et sa détermination" dans cette "campagne difficile", où elle est créditée d'environ 2% des intentions de vote dans les sondages.

"Anne je voudrais te dire mon estime, mon amitié et tout mon soutien parce que c'est une campagne difficile, personne ne le niera", a déclaré l'ex-maire de Nantes, lors d'un point-presse avec la candidate, en déplacement en Loire-Atlantique.

En présence également de l'actuelle maire de Nantes Johanna Rolland, directrice de campagne d'Anne Hidalgo, Jean-Marc Ayrault a souligné que la candidate menait sa campagne "avec un courage et une détermination absolument extraordinaires, et avec une fidélité aux convictions de gauche et des socialistes que je voudrais saluer", a-t-il expliqué. "Je la soutiens totalement", a-t-il insisté.

> Notre article complet est à lire ici.

Eric Zemmour passe sous la barre des 10% d'intentions de vote au premier tour, selon un sondage

Dans un sondage publié ce vendredi pour RTL et Orange, Le candidat Renconquête! descend sous la barre des 10% d'intentions de vote au premier tour, avec 9,5%, soit une baisse de 1,5 points.

Valérie Pécresse, candidate Les Républicains, décroche également à 9,5%. D'après ce sondage, Emmanuel Macron reste en tête avec 27% des intentions de vote, devant Marine Le Pen (21%), et Jean-Luc Mélenchon (15,5%).

Pour Jean-Luc Mélenchon, "Eric Zemmour ignore la réalité sociale du pays qu'il prétend défendre"

Le candidat de La France Insoumise à la présidentielle a répondu sur Twitter à une séquence d'un déplacement d'Éric Zemmour à Runins ce vendredi. Ce dernier a en effet été vivement interpellé par un militant associatif au sujet de la fin de la trêve hivernale.

"300.000 personnes SDF en France. Eric Zemmour ignore la realité sociale du pays qu'il prétend défendre", a notamment fustigé l'insoumis.

Et de poursuivre: "cette misère est inacceptable. Nous interdirons les expulsions sans relogement et créerons une garantie d'autonomie pour assurer une vie digne".

"Je n'ai pas d'autre solution": l'ex-ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll annonce qu'il votera pour Anne Hidalgo au premier tour

Dans une interview accordée à Marianne, l'ancien ministre de l'Agriculture de François Hollande Stéphane Le Foll a annoncé qu'il votera pour Anne Hidalgo au premier tour.

"Je n'ai pas d'autre solution", assure-t-il.

En Alsace, Marine Le Pen dit sentir un "espoir se lever"

Marine Le Pen, candidate à la présidentielle donnée au second tour face à Emmanuel Macron, a déclaré vendredi sur un marché alsacien sentir "un espoir" se "lever" en sa faveur.

"On sent que sur le terrain, il y a une grande dynamique, un espoir qui s'est levé en cette fin de campagne", a déclaré la candidate du Rassemblement national en marge d'une visite sur le marché de Haguenau (Bas-Rhin), à une semaine du premier tour le 10 avril.

"Ce qui a été annoncé comme étant la réélection obligatoire d'Emmanuel Macron était une fake news. Il est parfaitement possible de battre Emmanuel Macron et donc de changer radicalement de politique pour le pays. C'est ce que me disent les gens que je croise", a ajouté la prétendante à l'Elysée.

Elle a jugé "assez lourdingues" les attaques de la macronie contre elle. "Lorsqu'on en est à utiliser cette stratégie éculée de la re-diabolisation, c'est qu'on a rien à dire sur le fond'", a cinglé la candidate d'extrême droite, qui a lissé son discours pour cette campagne.

> Notre article complet est à retrouver ici.

"Vous n'avez pas l'air de connaître": à Rungis, Zemmour interpellé par un militant associatif au sujet de la fin de la trêve hivernale

En déplacement à Rungis, Eric Zemmour a été interpellé par un militant associatif distribuant de la nourriture aux plus démunis et qui s'inquiétait d'expulsions prochaines en raisonde la fin de la trêve hivernale.

Evoquant notamment le sort d'immigrés logés grâce au 115 et devant l'embarras visible du candidat, l'homme a notamment lancé: "Vous n'avez pas l'air de connaître".

Pécresse fustige un "quinquennat du bavardage" sur la sécurité

Valérie Pécresse a fustigé en Emmanuel Macron "le candidat du bavardage" sur la sécurité, vendredi à Rognac (Bouches-du-Rhône) où elle venait affirmer sa fermeté sur le régalien dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle.

"L'Etat promet, il n'y arrive pas, c'est vraiment le quinquennat du bavardage" a affirmé la candidate LR en martelant, dans le sud tenté par le vote RN: "c'est la droite qui fait la sécurité".

Distancée dans les sondages, concurrencée sur l'économie par les promesses d'Emmanuel Macron, Valérie Pécresse devait rencontrer policiers et retraités sur le pouvoir d'achat: "Je fais campagne sur deux pieds, le régalien et la promesse de 10% de hausse des salaires, mais je le fais en finançant mon projet, pas en promettant tout et n'importe quoi", a-t-elle assuré lors d'un point presse.

En pleine dégringolade dans les sondages, Eric Zemmour met en cause des études "non fiables" et veut croire à "un vote caché"

En déplacement ce matin au marché de Rungis, Eric Zemmour a commenté sa dégringolade dans les sondages... pour en nier la réalité.

"Les sondages ne sont pas fiables, les sondeurs le disent eux-mêmes", a-t-il introduit. Désormais sous les 10% dans les enquêtes d'opinion, le candidat de "Reconquête!" ne disait pas de même quand il était donné à 16%. Il a argué: "Ce qui a changé c'est qu'on sait que la participation ne sera pas à son niveau habituel. Tous les repères sont faussés". "Il y a un vote caché. Les sondeurs ne comprennent pas", a-t-il voulu croire. 

Jean Castex échange avec un électeur de Fabien Roussel

En déambulation dans les rues de Carpentras pour battre campagne au nom d'Emmanuel Macron, le Premier ministre Jean Castex est tombé sur un militant communiste tractant pour son candidat, Fabien Roussel. Les deux hommes se sont serré la main en souriant.

"C'est la démocratie", s'est écrié Jean Castex, précisant qu'il lisait "tous les programmes".
Jean Castex à Carpentras
Jean Castex à Carpentras © BFMTV

Pour Jean Castex, l'élection de Marine Le Pen "serait une catastrophe pour le pays"

En déplacement à Carpentras pour soutenir la candidature d'Emmanuel Macron à sa réelection, Jean Castex s'est dit "vigilant" face à la montée de la candidate du Rassemblement national Marine Le Pen dans les sondages.

"L'élection de Marine Le Pen serait une catastrophe pour le pays. Elle fait croire qu’elle a changé, elle fait croire qu’elle est plus centriste, mais c’est de l’imposture. On ne peut pas faire croire n’importe quoi aux gens", a lancé le Premier ministre.

"Tout est possible": Anne Hidalgo accuse Emmanuel Macron de "jouer avec le feu"

Alors qu'un sondage montre que l'écart entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron n'a jamais été aussi faible au second tour, Anne Hidalgo accuse le président.

"Quand on fait en sorte que le paysage politique, explosé, soit un paysage dans lequel il n'y aurait plus qu'un candidat soi-disant d'une forme de raison et en face l'extrême droite, on joue avec le feu et, effectivement, tout est possible", a estimé la candidate du Parti socialiste ce matin sur LCI.

Nicolas Dupont-Aignan s'alarme d'une "élection qui n'est pas une élection"

Nicolas Dupont-Aignan dénonce le climat de la campagne présidentielle.

"Nos compatriotes sont écœurés. Il y a un vrai danger d'une élection qui n'est pas une élection. (...) Le vrai danger, c'est que les Français se détournent des urnes", a jugé le candidat de Debout la France ce matin sur Europe 1.

Police spécialisée, imprescribilité: Jadot dévoile son programme pour lutter contre les crimes sur mineurs

Interpellé sur franceinfo par un auditeur membre de la Ciivise - Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - L'écologiste a détaillé son programme en la matière.

Il a mentionné "l'imprescribilité des crimes sur mineurs", et "la formation de toutes les personnes en lien avec ces publics", demandant encore la création d'une "police spécialisée".

Se prononçant même pour une éventuelle violation du secret médical pour déno,cer ces faits, il a poursuivi: "Je sais que c'est très difficile mais quand on sait la violence, les vies gâchées, l'abomination de ces crimes, il faut que les crimes soient dénoncés et que la justice puisse s'en occuper". 

Alexis Corbière juge Jean-Luc Mélenchon "capable de battre l'extrême droite au premier tour"

Alexis Corbière se dit convaincu que le second tour est à portée de main pour Jean-Luc Mélenchon, à 9 jours du vote.

"Il y a une réelle dynamique. Nous pouvons battre l’extrême droite au premier tour. Le SMIC à 1 400€ on peut le faire, donner plus de droits aux citoyens, on peut le faire, bloquer les prix on peut le faire ! Nous pouvons proposer tout cela face à Emmanuel Macron", a jugé le député France insoumise ce matin sur France 2.

Près de 70 millions d'euros dépensés par Batho à la tête du ministère de l'Environnement ? Jadot "croit sacrément" au démenti de sa porte-parole

Hier, L'Opinion a assuré qu'à la période - entre 2012 et 2013 - où Delphine Batho dirigeait le ministère de l'Environnement celui-ci avait dépensé 68,5 millions d'euros en consultations de cabinets conseils. Un élément d'autant plus délicat en cette périodede polémique autour des liens de l'exécutif sortant avec le cabinet McKinsey. Celle-ci a démenti tout rôle éventuel dans ces dépenses.

"Elle le conteste totalement (...) Connaissant DB & sa rigueur absolue, je peux sacrément la croire. DB est qqn d’extrêmement rigoureux du point de vue de ce type de relation", a appuyé son candidat à la présidentielle, Yannick Jadot.

Mélenchon une chance pour la gauche à la présidentielle ? Jadot déplore qu'on "nous fasse déjà le second tour avant le premier"

Interrogé sur la domination de Jean-Luc Méleenchon à gauche, et l'opportunité de voir dans la bonne forme sondagière de son rival une chance pour la gauche à la présidentielle, Yannick Jadot a déploré qu'on "fasse déjà le second tour".

"Le seul vote pour sauver l'avenir, c'est le vote écologiste", a-t-il encore jugé.

"Jamais un quinquennat n'aura été si gangréné par les lobbies": Jadot attaque l'exécutif

Yannick Jadot veut une loi de "séparation de l'Etat et des lobbies". L'écologiste l'a rappelé sur franceinfo.

Demandant une "transparence absolue", il a lancé: "Jamais un quinquennat n'aura été si gangréné par les lobbies". "gangrène" dont il a pointé un exemple dans le soutien de la Fédération des chasseurs et de leur président au sortant.

Jadot réitère ses accusations de "complicité" de crimes de guerre contre Total

"J'en suis arrivé à un point de colère face à l'indécence de Total..." a lancé Yannick Jadot. L'écologiste qui feraille depuis des jours contre le groupe pétrolier en a fait le "complice pendant des années de la dictature en Birmanie" et l'a à nouveau accusé d'être "complice de crimes de guerre" en Ukraine avec "ses partenaires très proches de Poutine, sous sanctions internationales".

Il a demandé solennellement à Emmanuel Macron d'exiger le retrait de Total de Russie.

La campagne "parle de choses dérisoires", regrette Jean Lassalle

Interrogé sur la question d'une éventuelle autonomie corse, Jean Lassalle a répondu plus largement sur l'ambiance de la campagne présidentielle.

"On doit trouver des solutions qui n’existent pas encore, c’est pour ça que je suis amer. On ne parle que de choses dérisoires", a regretté le candidat de Résistons sur BFMTV.

Covoiturage, transports publics et réduction de la vitesse: le plan de Jadot pour juguler l'effet d'un embargo sur le coût de la circulation

Pareil embargo sur les hydrocarbures pourrait aussi avoir un effet sur le coût de la circulation en France. Yannick Jadot a donc dévoilé son plan pour y parer.

Il a cité la gratuité des "transports publics locaux", un grand plan sur le covoiturage "pour ceux qui n'ont pas d'alternative à la nature", et une éventuelle limitation temporaire de la vitesse. "Imaginons que pour supporter cet embargo il faut réduire de 10 km/h la vitesse vu les bombes que les Ukrainiens prennent sur la tête, c'est un effort qu'on peut faire".

Jean Lassalle juge que la France est "une dictature molle"

Jean Lassalle jette un regard très sévère sur le régime politique de la France.

"On a un président qui n'existe plus, il a une grave crise existensielle, il a peur de tout le monde et de lui-même. Je me suis rendu compte que nous étions sous le joug d’une dictature, une dictature molle", a landé le candidat de Résistons ce matin sur BFMTV.

Jadot veut un acheteur unique européen à la place du gaz russe

"Ce n'est pas rien mais c'est 10%". Invité de franceinfo ce matin, le candidat écologiste à la présidentielle, qui plaide pour l'embargo sur le gaz russe a commencé par relativisier l'importance d'un tel geste. "L'impact de cet embargo ne serait que pour l'hiver prochain", a ecnore appuyé Yannick Jadot.

Pour contourner cette lacune éventuelle, il a milité pour la mise en place d'un "acheteur unique européen".

Jean Lassalle est candidat "car sinon il n'aurait pas su pour qui voter"

Jean Lassalle a expliqué sa candidature à la présidentielle.

"Je suis candidat, car sinon je n'aurais pas su pour qui voter", a avancé le député des Pyrénées-Atlantiques sur BFMTV ce matin.

Fabien Roussel estime incarner "une gauche populaire", contrairement à Jean-Luc Mélenchon

Fabien Roussel continue d'échanger des piques avec Jean-Luc Mélenchon.

"Je souhaite incarner une gauche populaire, qui veut renouer avec le monde du travail et porter des sujets que d'autres candidats, y compris Jean-Luc Mélenchon, ne porte pas", a jugé le candidat ce matin sur RTL.

"Nous les étrangers, on est des travailleurs": à Rungis, Éric Zemmour interpellé par des salariés étrangers

En visite à Rungis, Éric Zemmour a été interpellé à plusieurs reprises par des travailleurs étrangers, qui ont marqué leur désapprobation avec le programme du candidat Reconquête.

"Nous les étrangers, on est des travailleurs", lui a lancé un salarié au pavillon des viandes.

Éric Zemmour a souligné ne pas avoir de problème avec "les immigrés qui travaillent".

Jean Castex en campagne pour Emmanuel Macron

Le Premier ministre est attendu ce 1er avril, vers 10 heures, sur le marché hebdomadaire de Carpentras, où il rencontrera la population.

Jean Castex déambulera dans les rues de la ville, et rencontrera des représentants d'associations et des acteurs du monde agricole.

Valérie Pécresse en visite nocturne dans les quartiers nord de Marseille

Valérie Pécresse, qui veut se démarquer d'Emmanuel Macron par sa fermeté sur le régalien à dix jours de la présidentielle, s'est rendue ce jeudi soir dans les quartiers nord de Marseille pour y affirmer, près de points de trafic de drogue, sa volonté d'une "impunité zéro".

"A un moment il faut sanctionner, il faut l'impunité zéro, que la République soit chez elle", a-t-elle affirmé à des journalistes.

Une visite lors de laquelle la candidate était accompagnée de ses gardes du corps et de quelques membres de son équipe de campagne.

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Éric Zemmour avec "la France qui se lève tôt" au marché de Rungis

Le candidat du parti Reconquête! visite ce vendredi matin le marché de Rungis, où il échange avec des commerçants.

Macron en baisse, Zemmour et Pécresse passent sous les 10%

Selon un sondage BVA pour Orange et RTL publié ce vendredi, le président de la République receuillerait 27% des intentions de vote, devant Marine Le Pen (21%) et Jean-Luc Mélenchon (15,5%).

Valérie Pécresse et Éric Zemmour font jeu égal à 9,5%, la première accusant une baisse d'un point, le second d'un point et demi, malgré sa tentative de démonstration de force dimanche dernier lors d'un rassemblement géant sur l'esplanade du Trocadéro à Paris.

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Jean Lassalle invité de "Questions de confiance" à 8h30 sur BFMTV-RMC

Jean Lassalle, candidat du parti Résistons!, répondra aux questions d'Apolline de Malherbe à partir de 8h30 sur BFMTV-RMC dans "Questions de confiance", le nouveau rendez-vous quotidien de cette campagne présidentielle.

Dans les autres matinales, les invités politiques seront:

• 7h20 RFI: Agnès Evren (LR)
• 7h35 RTL: Fabien Roussel (PCF)
• 7h35 France 2: Alexis Corbière (LFI)
• 7h45 Radio J: Nadia Hai (LREM)
• 8h Public Sénat: Adrien Quatennens (LFI)
• 8h15 Europe 1: Nicolas Dupont-Aignan (DLF)
• 8h15 CNEWS: Eric Coquerel (LFI)
• 8h30 France Info: Yannick Jadot (EELV)
• 8h30 LCI: Anne Hidalgo (PS)

Bonjour à tous!

Et bienvenue sur ce direct consacré à l'actualité de la campagne présidentielle de ce vendredi.

Par BFMTV