"Ce ne sont pas des copains qu’on embauche!": Macron défend le recours aux cabinets de conseil

Ce direct consacré à l'actualité politique à trois jours du premier tour de l'élection présidentielle est terminé. Merci de nous avoir suivi sur BFMTV.com.

Interrogé par des lecteurs du Parisien sur la question du vote blanc et de sa reconnaissance, Emmanuel Macron a jugé que ce vote est préférable à l'abstention, même s'il s'interroge sur son utilité.

"Le problème, à mes yeux, c’est quand même que monsieur 'vote Blanc' n’apporte pas beaucoup de solutions. C’est ça la réalité", a-t-il estimé. "C’est trop facile de dire 'je vais défiler' et, le jour où il faut aller voter, 'je ne suis pas capable de choisir un candidat, alors je vote blanc'. Le vote blanc, c’est l’agrégation des contres et des sceptiques", juge Emmanuel Macron.

Le président concède néanmoins qu'"il faudra porter le débat" sur la reconnaissance de ce vote "si on voit qu’il y a beaucoup de votes blancs dans ce scrutin".

Emmanuel Macron, interrogé par une lectrice du Parisien, est revenu sur les recours de l'État à des cabinets de conseil alors que le parquet national financier a ouvert une enquête au sujet de la situation fiscale du cabinet de conseil McKinsey.

"McKinsey c’est un 'pouillème' de ce fameux milliard (de factures aux cabinets)! Et à 75 % ce chiffre concerne des prestations informatiques pour le Covid et pour la cybersécurité", s'est justifié le chef de l'État. "Le débat sur McKinsey est un énorme mensonge et une énorme manipulation. Ce ne sont pas des copains qu’on embauche!", a assuré Emmanuel Macron

Le président-candidat a répondu à des questions des lecteurs du Parisien. Un entretien publié en ligne ce jeudi soir et dans lequel il attaque sa probable adversaire du second tour: Marine Le Pen.

"Je pense que Marine Le Pen a un programme social mensonger, parce qu’elle ne le finance pas", estime Emmanuel Macron. "Quand elle dit 'je vais augmenter les retraites et dormez braves gens' ce n’est pas vrai. Elle ment aux gens, car elle ne le fera pas. Quand elle propose de baisser la TVA partout et de bloquer les prix sans que l’on sache comment elle compte y parvenir, elle ment aux gens.

"Elle a eu un formidable directeur de campagne qui a été encore plus outrancier qu’elle: monsieur Zemmour", a ajouté le président de la République. "Comme il y a eu les pires horreurs qui ont été dites depuis six mois, on s’est dit Marine Le Pen, ce n’est pas si grave. Mais ses fondamentaux n’ont pas changé: c’est un programme raciste, qui vise à cliver la société et d’une grande brutalité", a poursuivi Emmanuel Macron.

Le candidat du NPA, en meeting à Toulouse, a fustigé l'arrogance" du président de la République.

"L'arrogance de Macron, c'est l'arrogance d'un pouvoir et d'une classe sociale, de toute cette classe qui possède et qui s'enrichit et qui se moque de ce qui peut se passer dans l'ensemble de la société"

Éric Zemmour a évoqué au cours de son meeting la mort de Jérémy Cohen, un jeune homme mort en février dernier à Bobigny dans des circonstances encore floues. Le candidat de Reconquête a fait lever le public du palais des Sports pour une minute de silence en mémoire de Jérémy Cohen.

Le candidat de Reconquête tient ce jeudi soir son dernier meeting politique, à trois jours du premier tour de l'élection présidentielle. Suivez le meeting d'Éric Zemmour.

"Ce n'est pas 'tout sauf Macron'". Marion Maréchal, soutien d'Éric Zemmour pour l'élection présidentielle, a fait savoir qu'elle ne votera pas pour Jean-Luc Mélenchon en cas de second entre le candidat insoumis et Emmanuel Macron.

"Ce n'est pas 'tout sauf Macron' parce qu'évidemment je ne vais pas voter Mélenchon face à Emmanuel Macron, même si je pense cette hypothèse très peu probable en dépit de ce qui est dit", a-t-elle déclaré.

La soirée électorale de premier tour du candidat Macron, initialement prévue dans le nord-est parisien, à proximité de la porte de la Villette, se tiendra finalement au parc des expositions, dans le sud-ouest de la capitale.

L'équipe de campagne du président sortant a mis en avant "des contraintes pratiques" pour justifier de ce changement, à trois jours de la soirée.

Le candidat du Nouveau parti anticapitaliste tient son dernier meeting de campagne ce jeudi soir à Toulouse. Vous pouvez suivre la réunion politique de Philippe Poutou juste ici.

Marine Le Pen tient ce jeudi soir son dernier meeting de campagne avant le premier tour de l'élection présidentielle.

"Avec solennité, avec insistance, avec une très bienveillante insistance, je vous conjure d'aller voter", a déclaré la candidate du Rassemblement national devant un public déjà conquis. "Aucun résultat n'est acquis tant que vous n'avez pas voté", a-t-elle ajouté.

"À la présidentielle, on ne s'abstient pas, reprenez le contrôle!", a poursuivi Marine Le Pen.

À l'occasion de son dernier meeting de campagne à Nantes ce jeudi, Yannick Jadot est revenu sur les différents scandales liés à l'alimentation qui ont marqué les derniers jours.

"C'est quoi l'alternative à l'agriculture paysanne et l'alimentation bio? L'alternative, c'est Sodexo, c'est Kinder, c'est Buitoni et c'est Lactalis. Nous ne voulons pas de cette nourriture", a clamé le candidat écologiste à la présidentielle.

Yannick Jadot a par ailleurs reproché à Emmanuel Macron de ne pas avoir augmenté les contrôles sanitaires sur l'alimentation depuis son arrivée au pouvoir.

Générations, le mouvement fondé par Benoît Hamon et soutien de Yannick Jadot pour la présidentielle, a annoncé jeudi qu'il suspendait les adhérents ayant signé un appel à voter Jean-Luc Mélenchon pour faire barrage à Marine Le Pen.

"Générations vous rappelle que la décision de co-organiser la primaire des écologistes était le corollaire de notre engagement à en soutenir le vainqueur", écrit le mouvement dans une lettre interne adressée aux adhérents en question.

Elle a été publiée sur les réseaux sociaux par Roberto Romero, l'un des fondateurs du mouvement, et authentifiée par le coordinateur de Générations, Benjamin Lucas.

Le candidat de plusieurs formations politiques écologistes tient son dernier meeting à Nantes. Un rendez-vous politique que vous pouvez suivre juste ici.

L'écart se resserre même au premier. Emmanuel Macron arrive en tête des intentions de vote (28%) mais Marine Le Pen réduit l'écart avec le président-candidat, selon un sondage Odoxa réalisé pour nos confrères de L'OBS.

Jean-Luc Mélenchon conforte sa position de troisième homme dans cette campagne: le candidat de la France insoumise recueille 16% des voix au premier tour.

La candidate du Rassemblement national tient son dernier meeting avant le premier tour à Perpignan. Un rendez-vous à suivre sur BFMTV.com.

Quatre syndicats (CGT, Unsa, FSU, Solidaires) et quatre organisations de jeunesse appellent jeudi à une mobilisation le 1er mai "qui sera nécessaire quel que soit le résultat de l'élection présidentielle".

"La situation économique et sociale est marquée par l'aggravation des inégalités, de la précarité et par la crise écologique qui s'accélère dangereusement. Les questions des salaires, des services publics, de protection sociale et de transition écologique devraient être au coeur des débats et amener des réponses concrètes", soulignent ces organisations dans un communiqué.

"L'exigence de paix est aussi une revendication syndicale dans le contexte terrible des guerres, notamment en Ukraine", estiment-elles.

Plus de 13.000 détenus sont inscrits pour voter à l'élection présidentielle au sein même des prisons, une première pour ce type de scrutin, selon une information obtenue jeudi auprès du ministère de la Justice.

Selon les chiffres communiqués par la Chancellerie, 13.672 personnes détenues - sur un total de plus de 70.000 prisonniers au 1er mars - ont opté pour ce vote par correspondance dans la prison, avant l'élection.

Jean Lassalle sera à nouveau candidat aux élections législatives des 12 et 19 juin, pour postuler à un cinquième mandat consécutif, a annoncé jeudi le député des Pyrénées-Atlantiques sur le plateau de Public Sénat.

Concernant l'élection présidentielle, Jean Lassalle (Résistons!), crédité entre 2 et 3% d'intentions de vote dans les sondages, a de nouveau déploré "une campagne de merde". "Elle s'améliore un peu d'ailleurs depuis que je l'ai dit", a-t-il ajouté.

Anne Hidalgo a dîné mercredi soir avec plusieurs personnalités du PS, dont François Hollande, pour évoquer les législatives et la reconstruction de la gauche, mais sans le premier secrétaire, Olivier Faure, qu'elle rencontrera vendredi, a expliqué la candidate à la présidentielle jeudi à Rouen.

Les maires de Lille, Martine Aubry, et de Nantes, Johanna Rolland, la présidente de la région Occitanie Carole Delga et le sénateur Patrick Kanner étaient aussi présents à cette réunion, qui s'est tenue mercredi soir au Sénat, selon Le Monde qui a révélé l'information.

Cette réunion, à l'initiative de la candidate socialiste, qui termine la campagne autour de 2% dans les sondages, avait pour objectif de "discuter et se positionner pour voir comment conduire les dernières heures de campagne" et envisager ensuite la reconstruction de la gauche, a-t-elle expliqué à la presse lors d'un déplacement à Rouen, à trois jours du premier tour de la présidentielle.

J-3 avant le premier tour. L'ultime soirée de meetings politiques a lieu ce jeudi soir. Pas moins de quatre candidats à l'élection présidentielle en tiennent un: Marine Le Pen et Yannick Jadot à 18h30, Philippe Poutou à 20h et Éric Zemmour à 21h.

Le candidat de Debout la France a interrompu volontairement son clip de campagne avec une mire pour se démarquer de ses concurrents.

"Avec moi, choisissez la liberté", déclare-t-il dans un nouveau clip de campagne diffusé pour la première fois ce jour. Avant d'être interrompu sèchement par une fausse mire, laissant imaginer que le signal télé avait été coupé.

Apparaît alors à l'écran le message "éteignons nos télés, rallumons nos cerveaux", puis "et surtout... Votons !"

Marion Maréchal qui soutient d'Eric Zemmour a lancé un pavé dans la mare ce matin dans les colonnes de Nice Matin.

"Il y aura une clarification, le moment de vérité (après le second tour). J’espère qu’Éric Ciotti et d’autres en tireront les conséquences et qu’à partir de là on pourra construire avec lui, avec eux, quelque chose en commun et ce dès les législatives dans le cadre d’une grande coalition", a expliqué l'ancienne députée RN du Vaucluse.

Alors que Jean-Luc Mélenchon tente d'encourager les électeurs à réaliser un "vote utile" en sa faveur, avec l'espoir de faire passer la gauche au second tour, Yannick Jadot a fermement rejeté cette idée ce jeudi matin sur France Inter.

"Depuis que l'argument du vote utile est entré dans la campagne, jamais Marine Le Pen n'a été aussi haute et jamais autant il y a eu un écart énorme entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon", a-t-il affirmé.

"Ça a construit quoi le vote Mélenchon en 5 ans?", a-t-il dénoncé.

Interrogé ce jeudi matin sur France Inter sur la pertinance de l'ouverture d'une enquête par le parquet national financier concernant le cabinet de conseil McKinsey s'est dit "bien sûr" favorable à cette décision.

"La justice peut faire son travail. Il y a un scandale. McKinsey, on le sait, a travaillé gratuitement pour Emmanuel Macron quand il était ministre de l'Economie, il a travaillé gratuitement dans sa campagne de 2017 (...), ils ont fait de l'évasion fiscale", a-t-il dénoncé.

Sur l'affaire McKinsey, Nicolas Dupont Aignan a ironisé ce matin sur LCI en renommant le président de la République "Emmanuel McKinsey". Il demande à ce qu'une enquête soit ouverte par le parquet financier pour conflit d'intérêts.

Alors qu'Emmanuel Macron souhaite augmenter l'âge de départ à la retraite à 65 ans, Fabien Roussel souhaite qu'il revienne à 60 ans.

"On veut allonger le chômage après 60 ans avec ce genre de mesure. Beaucoup de Français ont fait beaucoup d'efforts, il est temps que le bonheur soit partagé. On a le droit de vivre heureux et d'avoir accès au plaisir", avance le candidat communiste ce matin sur BFMTV.

Fabien Roussel appelle de ses voeux la suppression de la CSG pour "les retraites en dessous de 2 000 euros" ce matin sur BFMTV.

Fabien Roussel est revenu sur le rapport de la commission d'enquête qui a pointé le recours accru aux cabinets de consulting par le gouvernement. McKinsey est accusé de ne pas avoir payé d'impôts sur les sociétés en France ces 10 dernières années.

"Ce qui est scandaleux, c'est qu'un gouvernement décide de faire des commandes publiques à une entreprise qui a son siège dans un paradis fiscal au Delaware aux Etats-Unis", dénonce le candidat communiste sur BFMTV.

Invité sur LCI ce jeudi matin, le candidat Debout la France Nicolas Dupont Aignan a fait preuve d'optimisme face à Élizabeth Martichoux à trois jours du premier tour: "20 millions de Français n’ont pas décidé, les jeux ne sont pas faits".

Le sondage Elabe pour BFMTV du 5 avril 2022 le crédite à 2% des intentions de votes.

Alors que la justice a ouvert une enquête autour du cabinet de consulting McKinsey, Valérie Pécresse a estimé qu'il "était temps", jugeant l'affaire "scandaleuse".

Elle a encore promis qu'en cas d'accession au pouvoir, elle créerait un ministère pour lutter contre la Fraude fiscale et sociale.

Alors que Jean-Louis Borloo a dit son choix de voter pour Emmanuel Macron dès le premier tour, Valérie Pécresse a réagi, en faisant référence au dernier projet mené par le radical de droite: "Je regrette que le président ait déchiré le plan banlieue, je veux qu'on éradique ces zones de non-droit et de non-France".

Elle a même estimé que Jean-Louis Borloo avait été "humilié" par le chef de l'Etat. "N'allons pas choisir les sondages ne choisissons pas le second tour, votons pour le premier", a-t-elle plaidé.

"Finalement, il y a eu très peu de débauchage", a-t-elle toutefois assuré.

Accusant Emmanuel Macron candidat de promettre le "contraire de ce qu'il a fait pendant cinq ans", Valérie Pécresse a assuré qu'il n'avait fait "que des erreurs" durant son quinquennat.

Elle a encore poursuivi au sujet du positionnement du sortant: "Il n'est pas de droite, il dit aux Français ce qu'ils ont envie d'entendre".

Valérie Pécresse est l'invitée de CNews ce jeudi matin. Elle a évoqué son programme économico-social, promettant une "réindexation des retraites", qu'elle a qualifiée de "prioritaire". "Les retraités sont les grands sacrifiés du quinquennat", a-t-elle affirmé, prônant un "choc de pouvoir d'achat".

"Et ça commence par la hausse des salaires, avec 10% sur le quinquennat", a-t-elle lancé. Elle s'est également engagée en cas de victoire à une "ristourne de 25 centimes sur l'essence".

Interrogée sur les chefs d'État qu'elle recevrait en priorité à l'Élysée si elle était amenée à être élue, Marine Le Pen a évoqué sur RTL l'organisation d'un sommet réunissant l'ensemble "des chefs d'État et de gouvernement de l'UE" dans un premier temps. Mais également sa volonté d'inviter un chef d'État africain.

Et "probablement je recevrai un chef d'État africain, car je pense que l'Afrique doit avoir une place plus importante dans le concert des nations", a-t-elle indiqué.

Elle a évoqué la possibilité de recevoir Macky Sall, le président du Sénégal et actuellement à la tête de l'Union africaine.

Si elle est élue, Marine Le Pen a annoncé qu'elle interdirait le port du voile dans l'espace public en France. "Demain, le voile sera interdit", a déclaré sur RTL la candidate à l'élection présidentielle.

Elle a évoqué une "contravention" pour les personnes qui ne se soumettraient pas à cette règle, "de la même manière que pour la ceinture de sécurité", a-t-elle indiqué.

"Les Français le demandent, à 85% il me semble", a-t-elle ajouté.

Interrogée sur France 2 ce jeudi sur sa position en cas de second tour entre Emmanuel Macron, qu'elle n'épargne pas dans ses propos, et la candidate du Rassemblement national Marine Le Pen, Anne Hidalgo a clairement marqué son choix, tout en appelant à s'occuper avant tout du premier tour.

"J'appellerai de toute façon à faire barrage à l'extrême droite, c'est ma boussole. Mais nous ne sommes pas encore au 2e tour de l'élection", a ainsi argumenté la candidate socialiste.

Sur RTL, la candidate du Rassemblement national a indiqué avoir déjà plusieurs noms en tête dans le cadre de son futur gouvernement si elle était amenée à être élue.

"J'ai une liste de gens. Mon problème sera de choisir beaucoup plus que de trouver", a-t-elle indiqué. "Je vais gouverner (...) dans le cadre d'un gouvernement d'union nationale", a-t-elle continué.

Elle s'est dite prête à "accueillir des gens", mentionnant "la gauche chevènementiste, une gauche souverainiste".

A trois jours du premier tour du scrutin, les électeurs français n'ayant pas reçu la propagande éléctorale doivent-ils être inquiets? Les délais sont respectés, assure La Poste qui a historiquement en charge la distribution des plis.

Dans un communiqué, l'établissement public indique que "la distribution de la propagande électorale par La Poste pour le premier tour de l’élection présidentielle se déroule conformément au planning prévu".

Mercredi à midi, 21,8 millions de plis sur 47,9 millions (soit 45,5%) ont déjà été distribués dans les boites aux lettres des électeurs.

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Elle avait choisi Rouen pour annoncer sa candidature. Elle y fera l’un de ses derniers déplacements de campagne : Anne Hidalgo sera en visite dans la ville normande ce jeudi.

La candidate du Parti socialiste à l’élection présidentielle sera accueillie par le maire de la ville, avant de rencontrer les habitants.

Pas de passage en force. C'est ce que promet Emmanuel Macron au sujet de la réforme des retraites qu'il envisage s'il est réélu. Dans un entretien au Figaro publié ce mercredi, le candidat-président trace sa feuille de route.

"Pour les retraites, il y aura une phase de concertation avec les partenaires sociaux. Je ne le ferai pas par ordonnance. Mais le mandat est clair, je l’ai posé dans toute sa transparence. Ce doit être dès l’automne prochain".

Rappelons qu'en cas de second mandat d’Emmanuel Macron, le relèvement de l’âge de départ à 65 ans se ferait progressivement jusqu’à 2032, avec "quatre mois de plus par année".

Le candidat du parti Reconquête! organise son dernier meeting de sa campagne du premier tour de l'élection présidentielle ce jeudi. Éric Zemmour donne rendez-vous à ses partisans à partir de 20 heures au Palais des Sports de Paris, pour un discours "consacré à la jeunesse."

Après avoir visité une usine et rencontré des viticulteurs à Belleville-en-Beaujolais, la candidate Les Républicains à la présidentielle organisera ce jeudi à partir de 19 heures un meeting au Matmut Stadium.

Valérie Pécresse sera notamment accompagnée de Laurent Wauquiez, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

En pleine dynamique dans les sondages ces derniers jours, autour de 21/22%, Marine Le Pen veut mobiliser un électorat largement populaire, face à la menace de l'abstention qui, selon les enquêtes d'opinion, pourrait être particulièrement importante dans les classes les plus populaires.

Bien décidé à s'inviter au second tour, le candidat insoumis Jean-Luc Mélenchon, en hausse dans les intentions de vote ces derniers jours, autour de 16%, met lui aussi les bouchées doubles.

À l'approche du premier tour, les candidats multiplient les interventions dans les matinales. Sur BFMTV-RMC, Apolline de Malherbe reçoit le candidat du Parti Communiste français, Fabien Roussel, à partir de 8h30 dans "Questions de confiance".

Les autres candidats dans le reste des matinales:

- 7h35, RTL: Marine Le Pen (RN)

- 7h40, France 2: Anne Hidalgo (PS)

- 7h50, France Info: Nicolas Dupont-Aignan (DLF)

- 8h15, CNEWS: Valérie Pécresse (LR)

- 8h20, Public Sénat: Jean Lassalle (R!)

- 8h20, France Inter: Yannick Jadot (EELV)

- 8h20, RFI: Nathalie Arthaud (LO)

- 8h30, LCI: Nicolas Dupont-Aignan (DLF)

Bienvenue dans ce live consacré à l'élection présidentielle, à trois jours du premier tour.