États-Unis : une femme de 27 ans décapitée dans la rue, son ex-compagnon suspecté
Jeudi dans l'État américain de Californie, une femme de 27 ans a été décapitée à coups d'épée dans la rue. Son ex-compagnon, qui souffrirait de schizophrénie, a été mis en examen pour "meurtre".
Ce drame s’est produit jeudi à San Carlos, ville de l’État américain de Californie. Une femme de 27 ans a été décapitée dans la rue à coups d’épée. Un voisin, qui a assisté à la scène, a ensuite donné l’alerte auprès des secours. La Dépêche du Midi, s’appuyant sur des éléments de médias locaux, relate que la veille, la victime aurait eu une altercation avec le père de son dernier enfant, une fillette aujourd’hui âgée d’un an.
Femme décapitée : elle avait menacé son ex-compagnon de révéler son casier judiciaire
L’ex-compagnon s’était vu interdire d’approcher de nouveau cette mère de deux enfants après s’être déjà montré violent envers elle. La consultation de SMS a révélé que la jeune femme avait menacé son ex-compagnon de révéler son casier judiciaire, qui mentionnait notamment une condamnation pour viol sur mineur. C’est pour cette raison que l’homme se serait présenté devant le domicile de la vingtenaire.
Venu s’expliquer, il l’aurait tuée avec une épée
L’ex-compagnon aurait sorti une épée de son coffre, avant de décapiter la jeune femme avec. “La tête était sous la voiture alors que son corps était allongé derrière la voiture”, témoigne le voisin. Le père de la victime a quant à lui déclaré que le suspect est connu pour des problèmes mentaux : “C’est un schizophrène diagnostiqué qui prend des médicaments. Il utilisait d’ailleurs ça comme excuse pour justifier son comportement. Il avait bu excessivement et vous n’êtes pas censé faire ça avec ce genre de médicament”.
Le suspect mis en examen pour “meurtre”
L’auteur présumé des faits a depuis été mis en examen pour “meurtre”, et son procès aurait lieu à une date ultérieure.
En France, le 3919, numéro gratuit, anonyme, accessible à toute heure du jour ou de la nuit et invisible sur les factures, permet de rapporter des violences conjugales, sexistes ou sexuelles. Des signalements aussi possibles sur le site Service-public.fr.