Pour la Saint-Valentin, Banksy dévoile une œuvre sur les violences conjugales

L'artiste de rue Banksy a dévoilé mardi, jour de la Saint-Valentin, une oeuvre qui semble mettre en avant le thème des violences conjugales, peinte sur le mur d'un bâtiment de la station balnéaire de Margate, dans le sud-est de l'Angleterre.

La rédaction Publié le 14/02/2023 à 13:18, mis à jour le 14/02/2023 à 13:26
Plusieurs internautes ont identifié le lieu où l'œuvre a été réalisée: dans le Kent. Capture d'écran Instagram Banksy

On y voit une femme au foyer ayant un look des années 1950 ou 1960, défigurée par un œil au beurre noir et une dent cassée, tandis que les jambes d'un homme dépassent d'un vieux congélateur, bien réel, posé contre le mur.

L'oeuvre, intitulée "Valentine's day mascara", a été revendiquée par l'artiste sur son compte Instagram le 14 février, jour considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux.

Plusieurs internautes ont identifié le lieu où l'œuvre a été réalisée dans la petite ville côtière de Margate dans le Kent, où l'AFP a constaté sa présence.

Une précédente œuvre réalisée pour la Saint-Valentin il y a trois ans

Il y a trois ans, le mystérieux artiste originaire de Bristol et qui travaille sous pseudonyme, avait déjà peint une œuvre pour la Saint-Valentin: une petite fille tirant avec une catapulte sur un bouquet de fleurs rouges.

Depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine, Banksy, dont les œuvres battent régulièrement des records aux enchères, a apporté son soutien aux Ukrainiens. Il a mis en vente en janvier 50 sérigraphies destinées à recueillir des fonds au profit des civils.

Et il avait posté mi-novembre sur son compte Instagram une vidéo compilant ses œuvres peintes au pochoir dans le pays, dont celle représentant un individu portant un masque à gaz à Gostomel, confirmant ainsi en être l'auteur.

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Nice-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.