Laurent de la Clergerie a lancé la semaine de 4 jours dans son entreprise il y a maintenant deux ans. ©AFP - PHILIPPE DESMAZES
Laurent de la Clergerie a lancé la semaine de 4 jours dans son entreprise il y a maintenant deux ans. ©AFP - PHILIPPE DESMAZES
Laurent de la Clergerie a lancé la semaine de 4 jours dans son entreprise il y a maintenant deux ans. ©AFP - PHILIPPE DESMAZES
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Une entreprise lyonnaise d'informatique, LDLC, permet à ses salariés de passer à 32 heures travaillées en quatre jours. Deux ans après l'avoir adopté, 88 % des salariés affirment que la formule leur convient parfaitement.

Alors que le conflit sur la réforme des retraites se poursuit, les syndicats et le gouvernement se rencontreront demain. La Première ministre a prévenu que son sujet à elle était celui du travail. Un sujet que l'intersyndicale, en particulier la CFDT, avait demandé à discuter en préalable à l'élaboration de la réforme des retraites.

Numérique Covid, télétravail… Du côté des partenaires sociaux comme du gouvernement, chacun s'accorde à penser que les conditions de travail doivent être repensées, Parmi les discussions possibles, il y a notamment celle du temps de travail. La semaine des quatre jours, dont le député européen Pierre Larrouturou fait la promotion depuis les années 1990, a été récemment mise en place dans plusieurs entreprises. Notamment une entreprise lyonnaise d'informatique : LDLC, société de vente en ligne d’équipements informatiques. Cette entreprise permet à ses salariés de passer à 32 heures travaillées en quatre jours, deux ans après l'avoir adopté, 88 % des salariés affirment que la formule leur convient parfaitement. Ouafia Kheniche s'est rendue dans l'un de ses sites, celui de Grandchamps-des-Fontaines, à côté de Nantes.

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