Le Ministère public genevois avait déjà ouvert une procédure pénale visant à faire la lumière sur cette affaire qui impliquerait une travailleuse du sexe et un policier genevois. Il avait décidé d’agir après la diffusion d’un reportage dans lequel la prostituée affirmait avoir été agressée par un policier en congé.
La procédure pénale ouverte par le Ministère public genevois porte «tant sur l’agression à caractère sexuel» évoquée par la travailleuse du sexe que «sur la manière dont les faits, à l’époque, ont été appréhendés par la police».