Les statistiques des crimes motivés par la haine sont stables, se concentrant essentiellement sur les personnes noires pour les agressions racistes, les juifs pour celles motivées par l'appartenance religieuse et les hommes homosexuels pour celles liées à l'orientation sexuelle, indique le FBI.
«Ces données rappellent que la haine se cache, mais ne disparaît jamais», a commenté le président américain Joe Biden dans un communiqué, relevant une «augmentation de 25% des actes antisémites entre 2021 et 2022».