Gynécologie sans frontières : prendre soin des femmes migrantes

Consultations gynécologiques, suivi de grossesse, contraception ou libération de la parole sur les violences sexuelles : tout cela reste parfois inaccessible à de nombreuses migrantes, qu'elles soient sur la route de l'exil ou installées dans leur pays d'accueil. Des associations tentent pourtant de leur venir en aide, à l'instar de Gynécologies sans frontières. Richard Matis, son président, nous explique comment.

Sur le chemin de l’exil, prendre une contraception peut être compliqué. Pas pratique, contraignant, pas assez discret… Pourtant, ça peut être primordial, pour certaines. Dans cette vidéo, Richard Matis, président de l’association Gynécologie sans frontières, pèse les "pour" et les "contre" des différents moyens de contraception.



Parmi les patientes qui font appel à Gynécologie sans frontières, nombreuses sont celles à avoir subi l'excision. Cette mutilation génitale, pratiquée à grande échelle dans plusieurs pays subsahariens notamment, a de lourdes conséquences sur la santé des femmes. Lesquelles ? Et que fait l'ONG pour leur venir en aide ? Réponses.


 

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