«Woke, anti-capitaliste ou pro-Palestine»: une mécène interroge la programmation du Palais de Tokyo

La démission tonitruante de Sandra Mulliez Hegedüs des Amis du Palais de Tokyo suscite une polémique qui divise le monde de l’art. Débat d’idées et passe d’armes.
Depuis une dizaine de jours, le Palais de Tokyo est dans la tourmente et au centre d'échanges musclés. Messages sur les réseaux sociaux, communiqués de presse et lettre de soutien dans les journaux alimentent un feuilleton dont l'institution parisienne se serait bien passé. Tout commence le dimanche 5 mai, quand une de ses mécènes, Sandra Mulliez Hegedüs, annonce sur Instagram qu'elle démissionne du conseil d'administration des Amis du Palais de Tokyo.
La raison de sa décision est à chercher dans l'exposition en cours avenue du Président-Wilson. Passé inquiet : Musées, exil et solidarité trace des parallèles, par la voix des artistes, entre la situation de la Palestine face à Israël, celle de l'Afrique du Sud de l'apartheid ou celle du Chili de Pinochet. «Je ne veux pas être associée à la nouvelle orientation très politique du Palais, annonce Sandra Mulliez Hegedüs. La programmation semble dictée par la défense de “causes” très orientées (wokisme, anti-capitalisme, pro-Palestine etc.)……
Montecristo le retour
le
L’audiovisuel public, l’école, l’université, la culture, tout est bon pour faire passer l’idéologie des wokistes islamo gauchistes. La droite devra faire le ménage en arrivant au pouvoir .
anonyme
le
Je me demande si l’artiste syrien a aussi une petite œuvre concernant les centaines de milliers de victimes dans son pays dont beaucoup de ‘Palestiniens’.
Pour info, en 75 ans de conflit israélo arabe sont mort (des deux côtés) autant qu’en six mois de massacres en Syrie, mais comme dirait l’autre ce n’est qu’un détail…
mordicus
le
Tartes à la crème pour tout le monde.