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Un adolescent séquestré dans une cave par des trafiquants de drogue à Marseille

Une enquête pour « séquestration sur mineur » a été ouverte à Marseille après qu’un adolescent a été enfermé dans une cave de la cité des Rosiers. Des trafiquants de drogue pour qui il travaillait l’auraient séquestré et forcé à vendre des stupéfiants pour rembourser une dette.

La police de Marseille enquête sur la séquestration d’un mineur dans une cave du 14e arrondissement. Photo d’illustration.
La police de Marseille enquête sur la séquestration d’un mineur dans une cave du 14e arrondissement. Photo d’illustration. | JOËL LE GALL / ARCHIVES OUEST-FRANCE
  • La police de Marseille enquête sur la séquestration d’un mineur dans une cave du 14e arrondissement. Photo d’illustration.
    La police de Marseille enquête sur la séquestration d’un mineur dans une cave du 14e arrondissement. Photo d’illustration. | JOËL LE GALL / ARCHIVES OUEST-FRANCE

À Marseille, un adolescent d’une quinzaine d’années s’est présenté à la police samedi 29 juin 2024 en expliquant avoir été séquestré dans une cave de la cité des Rosiers (14e arrondissement). Ses ravisseurs seraient des trafiquants de drogue, rapporte BFM Marseille Provence , qui a révélé l’information.

Selon nos confrères, la jeune victime avait été interpellée par la police, quelques jours plus tôt, pour trafic de stupéfiants. Les forces de l’ordre avaient alors saisi de la drogue. C’est pour rembourser la valeur de la marchandise saisie par les forces de l’ordre que l’adolescent aurait été menacé et forcé de continuer à dealer, avant d’être enfermé dans une cave.

Une enquête ouverte

Le garçon aurait réussi à échapper à la vigilance de ses ravisseurs et se serait rendu directement au commissariat, indique Le Figaro Marseille . L’adolescent n’a pas été blessé. Une enquête pour « séquestration sur mineur » a été ouverte.

En mai 2024, toujours à Marseille, un homme de 28 ans avait été retrouvé blessé, ligoté et attaché à un radiateur dans un appartement de la cité Consolat, située dans les quartiers Nord de Marseille. La victime, atteinte d’autisme avait été arrêtée quelques jours plus tôt car suspectée d’être impliquée dans un trafic de drogue. Soupçonnant que le jeune homme avait été libéré parce qu’il avait fourni des informations à la police, ses employeurs s’en étaient pris physiquement à lui.

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