Frais de départ : la dissolution a coûté plus de 28 millions d'euros à l'Assemblée nationale
La dissolution de l’Assemblée a coûté cher aux finances de l’État, notamment à cause des indemnités attribuées aux collaborateurs parlementaires qui ont été licenciés.
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Une addition salée. La dissolution, décidée par Emmanuel Macron en juin 2024, n’aura pas eu des conséquences que sur le paysage politique du pays, les finances de l’Assemblée nationale ont aussi été particulièrement touchées. En effet, la dissolution aura coûté 28 540 900 euros, sur un budget de 662 millions accordé à la Chambre en 2024, a révélé franceinfo, mardi 17 septembre, de sources parlementaires.
Les indemnités liées aux licenciements des collaborateurs des députés représentent plus de 80% du total de ces frais. En effet, tous les collaborateurs ont été licenciés dans la foulée des élections législatives anticipées, où 133 députés n’ont pas retrouvé leur siège sur les bancs de l’hémicycle. Le montant s’élève à 23,5 millions d’euros, auquel s’additionne une enveloppe de 1,9 million d’euros dédiée à la finance de l’allocation d’aide au retour à l’emploi des députés non réélus. En contrepartie, le coût total de la dissolution aura été allégé par l’absence de versement du salaire de ces collaborateurs pendant un mois (13 millions) et de l’AFM (2,4 millions), la dotation qui permet de payer leur permanence, leurs déplacements, leurs frais de réception, d’hébergement, etc.
Plus de 2 millions de frais pour les nouveaux députés
En outre, l’Assemblée nationale a aussi dû faire face à de dépenses supplémentaires à l’intention des nouveaux parlementaires, soit 2,3 millions d’euros pour l’achat de matériel des nouveaux députés, notamment du matériel informatique, de la papeterie (60 000 euros) ou des fournitures de bureau (32 000 euros). Par ailleurs, près de 20 000 euros de frais de communication ont été nécessaires pour financer, entre autres, des séances de photos des nouveaux élus.
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