À quelques jours de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, une enquête exclusive menée par GROUPE IFOP pour Crédit Mutuel Alliance Fédérale et la Fédération Nationale Solidarité Femmes démontre que les disparités économiques entre les femmes et les hommes sont un facteur aggravant dans le contexte des violences conjugales. L’indépendance économique est un facteur clé pour pouvoir fuir les violences conjugales, phénomène très largement sous-estimé. Selon le sondage, en France, près d’un tiers (32 %) des femmes ont déjà été confrontées à des violences physiques, verbales ou économiques de la part de leur conjoint. Parmi elles, une sur deux a subi des violences économiques en plus des violences physiques ou verbales. Souvent mal identifiées, les violences économiques entrent dans la définition des violences conjugales. Elles se traduisent par un contrôle financier total ou partiel de la part du conjoint pouvant aller jusqu’à la dépossession totale des moyens d’autonomie de la femme. En exposant les femmes à une rupture totale d’autonomie, les violences économiques empêchent le plus souvent les victimes et leurs enfants de toute possibilité d’échapper à leur agresseur. Parce que les femmes victimes de violences conjugales ont besoin d’aide lorsqu’elles souhaitent quitter le domicile, Crédit Mutuel Alliance Fédérale s’est mobilisé pour accompagner la Fédération Nationale Solidarité Femmes, en adaptant son offre bancaire afin de sécuriser les ressources des victimes et en versant un don de 300 000 euros sur trois ans pour faciliter la prise en charge de l'hébergement d’urgence sur tous les territoires. Lire le communiqué de presse ⤵️
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ICYMI: Violences économiques : Près d'une femme sur quatre a déjà été exposée à des violences économiques de la part de son conjoint: Pour la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, une enquête exclusive menée par l'IFOP pour Crédit Mutuel Alliance Fédérale et la Fédération Nationale Solidarité Femmes démontre que les disparités économiques entre les femmes et les hommes sont un facteur aggravant dans le contexte des violences conjugales. L'indépendance économique est un facteur clé pour pouvoir fuir les violences conjugales, phénomène très largement sous-estimé. Selon le sondage, en France, près d'un tiers (32 %) des femmes ont déjà été confrontées à des violences physiques, verbales ou économiques de la part de leur conjoint. Parmi elles, une sur deux a subi des violences économiques en plus des violences physiques ou verbales. Souvent mal identifiées, les violences économiques entrent dans la définition des violences conjugales. Elles se traduisent par un (...) - Crédit Mutuel / Activités bancaires / Crédits / Microfinance / Gestion financière, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Journée internationale contre les violences envers les femmes, réservé aux abonné.e.s, Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF), Crédit Mutuel Alliance Fédérale, Éric Petitgand, Mine Günbay
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[ 🔴 ] Un engagement fort contre les violences conjugales 🔹 À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, la Caisse d'Epargne Hauts de France se mobilise avec un dispositif innovant et solidaire : l’ouverture de compte simplifiée sous 48 heures pour les victimes de violences conjugales. Dès le 25 novembre 2024, nous mettrons en place un service confidentiel et gratuit pendant 2 ans, destiné à soutenir les femmes et hommes majeurs en situation de détresse. Ce dispositif vise à briser la dépendance économique, souvent insidieuse, qui touche des milliers de personnes chaque année. 🤝 En collaboration avec la direction régionale aux droits des femmes et à l’égalité Hauts-de-France (DRDFE) et l’association SOLFA Solidarité Femmes Accueil, nous avons conçu cette initiative pour permettre aux victimes de retrouver une autonomie financière, essentielle pour se reconstruire. Nous croyons fermement que chaque individu a le droit de vivre en sécurité et de disposer des moyens nécessaires pour agir et protéger son avenir. Les violences économiques, bien que souvent invisibles, peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la Loi Létard de février 2023, et nous sommes fiers de contribuer à un changement sociétal en lien avec notre engagement historique d’être utile aux avancées sociales Pour en savoir plus : https://lnkd.in/e_NxMduR
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Violences économiques faites aux femmes - Rapport d’étude – Octobre 2024 IFOP - Crédit Mutuel - Solidarités Femmes 3919 EN SAVOIR PLUS / https://lnkd.in/eZsyCbSf Violences économiques – Enquête IFOP x Crédit Mutuel Alliance Fédérale Près d’une femme sur quatre a déjà été exposée à des violences économiques de la part de son conjoint À quelques jours de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, une enquête exclusive menée par l’IFOP1 pour Crédit Mutuel Alliance Fédérale et la Fédération Nationale Solidarité Femmes démontre que les disparités économiques entre les femmes et les hommes sont un facteur aggravant dans le contexte des violences conjugales. L’indépendance économique est un facteur clé pour pouvoir fuir les violences conjugales, phénomène très largement sous-estimé. Selon le sondage, en France, près d’un tiers (32 %) des femmes ont déjà été confrontées à des violences physiques, verbales ou économiques de la part de leur conjoint. Parmi elles, une sur deux a subi des violences économiques en plus des violences physiques ou verbales. Souvent mal identifiées, les violences économiques entrent dans la définition des violences conjugales. Elles se traduisent par un contrôle financier total ou partiel de la part du conjoint pouvant aller jusqu’à la dépossession totale des moyens d’autonomie de la femme. En exposant les femmes à une rupture totale d’autonomie, les violences économiques empêchent le plus souvent les victimes et leurs enfants de toute possibilité d’échapper à leur agresseur. Parce que les femmes victimes de violences conjugales ont besoin d’aide lorsqu’elles souhaitent quitter le domicile, Crédit Mutuel Alliance Fédérale s’est mobilisé pour accompagner la Fédération Nationale Solidarité Femmes, en adaptant son offre bancaire afin de sécuriser les ressources des victimes et en versant un don de 300 000 euros sur trois ans pour faciliter la prise en charge de l'hébergement d’urgence sur tous les territoires. #promotiondelasanté #préventionsanté #politiquedesanté #santépublique #pratiquesensanté
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Violences économiques : Près d'une femme sur quatre a déjà été exposée à des violences économiques de la part de son conjoint: Pour la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, une enquête exclusive menée par l'IFOP pour Crédit Mutuel Alliance Fédérale et la Fédération Nationale Solidarité Femmes démontre que les disparités économiques entre les femmes et les hommes sont un facteur aggravant dans le contexte des violences conjugales. L'indépendance économique est un facteur clé pour pouvoir fuir les violences conjugales, phénomène très largement sous-estimé. Selon le sondage, en France, près d'un tiers (32 %) des femmes ont déjà été confrontées à des violences physiques, verbales ou économiques de la part de leur conjoint. Parmi elles, une sur deux a subi des violences économiques en plus des violences physiques ou verbales. Souvent mal identifiées, les violences économiques entrent dans la définition des violences conjugales. Elles se traduisent par un (...) - Crédit Mutuel / Activités bancaires / Crédits / Microfinance / Gestion financière, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Journée internationale contre les violences envers les femmes, réservé aux abonné.e.s, Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF), Crédit Mutuel Alliance Fédérale, Éric Petitgand, Mine Günbay
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[Tribune : Violences sexistes et sexuelles, donner aux associations les moyens de lutter] ⚠️ Alors que l’Assemblée débat du PLF, nous, associations de terrain, alertons sur l'urgence de garantir des financements adaptés aux associations. Appeler le 3919 est souvent le premier pas pour sortir des violences. Les écoutantes y orientent les victimes vers des associations locales spécialisées pour les accueillir et les accompagner. 🚨 Sans associations spécialisées, le 3919 ne pourra plus offrir cet appui essentiel. Mobilisons-nous pour défendre l’accompagnement des femmes victimes de violences et de leurs enfants ! 💜
En France, 217 000 femmes sont victimes de viol, tentatives de viol et/ou agression sexuelle chaque année. Nous, associations de terrain le savons : la lutte contre les violences sexistes et sexuelles et pour la protection des victimes de violences doit devenir un sujet de politique publique prioritaire qui doit aussi passer par le financement de nos associations. Alors que les débats parlementaires sur les dépenses des projets de loi de finance 2025 débutent, nous tirons la sonnette d'alarme. Nous devons avoir des moyens suffisants pour accompagner les dizaines de milliers de femmes victimes de violences qui pourraient se retrouver sans solution sans l'action de nos associations. Retrouvez notre tribune co-signée par Le Planning familial, Fédération Nationale Solidarité Femmes, @#StopFisha , Mouvement du Nid France, Fédération nationale GAMS (Mutilations sexuelles féminines et Mariages forcés), NousToutes, Fondation des Femmes, @Les Dévalideuses, Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l'Enseignement Supérieur, @Collectif national pour les droits des femmes, AVFT - Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail, Fédération nationale des CIDFF dans Le Monde https://lnkd.in/eRXMCyA8
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En France, 217 000 femmes sont victimes de viol, tentatives de viol et/ou agression sexuelle chaque année. Nous, associations de terrain le savons : la lutte contre les violences sexistes et sexuelles et pour la protection des victimes de violences doit devenir un sujet de politique publique prioritaire qui doit aussi passer par le financement de nos associations. Alors que les débats parlementaires sur les dépenses des projets de loi de finance 2025 débutent, nous tirons la sonnette d'alarme. Nous devons avoir des moyens suffisants pour accompagner les dizaines de milliers de femmes victimes de violences qui pourraient se retrouver sans solution sans l'action de nos associations. Retrouvez notre tribune co-signée par Le Planning familial, Fédération Nationale Solidarité Femmes, @#StopFisha , Mouvement du Nid France, Fédération nationale GAMS (Mutilations sexuelles féminines et Mariages forcés), NousToutes, Fondation des Femmes, @Les Dévalideuses, Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l'Enseignement Supérieur, @Collectif national pour les droits des femmes, AVFT - Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail, Fédération nationale des CIDFF dans Le Monde https://lnkd.in/eRXMCyA8
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Face aux incertitudes politiques françaises, à un moment où notre dette n’a jamais été aussi élevée, la priorité affichée du gouvernement depuis le Grenelle des violences conjugales, de lutter contre les violences faites aux femmes et enfants, recherche son 2 eme souffle . Manque de financement des associations qui sont sur le terrain et accompagnent les victimes, formation des magistrats encore insuffisante, travail en silos, nécessité d’un nouveau paradigme introduisant le contrôle coercitif de manière à mieux prévenir les féminicides … il reste encore beaucoup à faire pour que le macabre décompte des féminicides s’arrête . La valse des ministres de l’égalité Femmes/Hommes ( 5 ministres en 6 ans) et les affres de la politique sont autant de freins à une politique d’envergure… Les femmes méritent mieux que cela .. https://lnkd.in/gszRF55H #stopviolences #stopfeminicides
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"Amendement n°II-3848 Déposé le mardi 12 novembre 2024 Exposé sommaire Cet amendement vise à l’extension du numéro « 3919 » pour inclure la prise en charge des hommes victimes de violences tout en prévoyant la formation des écoutants et l’élargissement des horaires de service. Le numéro « 3919-Violences femmes infos », géré par la Fédération nationale solidarité femmes (FNSF), assure depuis 2014 l’accueil téléphonique gratuit des femmes victimes de violences conjugales. Il est accessible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 depuis 2021, à la suite du risque accru de violences conjugales lié à la crise sanitaire. En 2023, il a reçu 112 593 appels pour un taux de réponse de 86,5 %. Près de 74 % des appels concernent des violences faites aux femmes. Ce dispositif joue un rôle crucial de première information pour les victimes et d’orientation vers une prise en charge adaptée. Il est essentiel d'en soutenir le fonctionnement et de permettre également son élargissement pour les hommes victimes de violences. Si les femmes représentent 86 % des victimes de violences conjugales en 2022 selon le ministère de l’intérieur, 14 % des victimes sont des hommes. Il est nécessaire de s’emparer du problème des violences conjugales dans son ensemble. C’est pourquoi cet amendement : - abonde de 2 millions d’euros en autorisations d’engagement et en crédits de paiement l’action 25 « Prévention et lutte contre les violences et la prostitution » du programme du programme 137 Egalité entre les femmes et les hommes ; - prélève, pour respecter les règles de recevabilité budgétaire, 2 millions d’euros sur l’action 13 « Ingénierie, outils de la gouvernance et expérimentations » du programme 304 Inclusion sociale et protection des personnes. https://lnkd.in/eXCs9Fv4"
Amendement n°II-3848 Déposé le mardi 12 novembre 2024 Exposé sommaire Cet amendement vise à l’extension du numéro « 3919 » pour inclure la prise en charge des hommes victimes de violences tout en prévoyant la formation des écoutants et l’élargissement des horaires de service. Le numéro « 3919-Violences femmes infos », géré par la Fédération nationale solidarité femmes (FNSF), assure depuis 2014 l’accueil téléphonique gratuit des femmes victimes de violences conjugales. Il est accessible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 depuis 2021, à la suite du risque accru de violences conjugales lié à la crise sanitaire. En 2023, il a reçu 112 593 appels pour un taux de réponse de 86,5 %. Près de 74 % des appels concernent des violences faites aux femmes. Ce dispositif joue un rôle crucial de première information pour les victimes et d’orientation vers une prise en charge adaptée. Il est essentiel d'en soutenir le fonctionnement et de permettre également son élargissement pour les hommes victimes de violences. Si les femmes représentent 86 % des victimes de violences conjugales en 2022 selon le ministère de l’intérieur, 14 % des victimes sont des hommes. Il est nécessaire de s’emparer du problème des violences conjugales dans son ensemble. C’est pourquoi cet amendement : - abonde de 2 millions d’euros en autorisations d’engagement et en crédits de paiement l’action 25 « Prévention et lutte contre les violences et la prostitution » du programme du programme 137 Egalité entre les femmes et les hommes ; - prélève, pour respecter les règles de recevabilité budgétaire, 2 millions d’euros sur l’action 13 « Ingénierie, outils de la gouvernance et expérimentations » du programme 304 Inclusion sociale et protection des personnes. https://lnkd.in/eXCs9Fv4
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Le Sénat vient d’adopter en séance plénière à l’unanimité une proposition de résolution, déposée par le groupe PS, au sujet des violences économiques et administratives entre partenaires ou ex-partenaires. Ce vote intervient suite à la prise de conscience de l’importance de lutter contre ces formes de violence souvent méconnues et sous-estimées. En effet, une étude européenne a montré que 12% des femmes ont été victimes de violences économiques au sein de leur couple. Ces violences englobent une série de comportements visant à contrôler l'autre personne sur le plan financier ou administratif, souvent dans le but de maintenir le pouvoir et le contrôle dans la relation. L’argent est au cœur d’un jeu de pouvoir malsain, bien plus présent dans le quotidien des femmes qu’on ne l’imagine. Le Sénat a donc voté en faveur de plusieurs recommandations dont l’intégration de la notion de violences économiques dans le droit belge, avec la possibilité de les pénaliser. Il est également suggéré d'évaluer l'aggravation des peines dans le cadre de la violence intrafamiliale pour différentes infractions, et de mettre en place des changements législatifs pour mieux protéger les victimes de ces violences. D'autres propositions incluent la sensibilisation du grand public aux violences économiques, la formation des professionnels concernés, la création d'outils d'information juridique et patrimonial pour les couples, et le développement d'études pour mieux comprendre ces violences. L’attention a également été portée sur les mamans solo. 79% des femmes victimes de violences conjugales subissent encore des violences après la séparation, en ce compris des violences économiques ou financières. Et, en Belgique, une famille sur dix est monoparentale. Avec le constat que dans huit cas sur dix, le parent solo est une femme. Les violences économiques envers les mamans séparées nécessitent donc des mesures spécifiques pour les protéger et les empêcher de tomber dans la précarité. Il est important de rendre la justice financièrement plus accessible aux victimes de violences intra-familiales et d'assurer l'intervention automatique du Service des créances alimentaires (SECAL) en cas de violences. Il s’agit là d’une avancée majeure dans la lutte contre les violences conjugales, et d’une reconnaissance de l’importance de combattre toutes les formes de violence au sein des couples.
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Directeur Général Adjoint en charge des Ressources Humaines et de la Communication - Crédit Mutuel Alliance Fédérale / Président de CIC Nord Ouest
5moBravo à tous nos équipes de Crédit Mutuel Alliance Fédérale pour cette initiative essentielle. L'engagement pour l'indépendance économique des femmes est un levier crucial pour lutter contre les violences conjugales. Fier d'appartenir à une entreprise qui met ses ressources au service de la Société.