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«C’est comme si les oiseaux, ils volent et d'un coup, tu as un grillage» : l'argumentation déconcertante de Sébastien Delogu contre les frontières

Dans une interview qui a récemment refait surface sur les réseaux sociaux, le député insoumis a fait une drôle de comparaison, en évoquant son opposition aux frontières.

Marianne Lecach
«C’est comme si les oiseaux, ils volent et d'un coup, tu as un grillage» : l'argumentation déconcertante de Sébastien Delogu contre les frontières
«C’est comme si les oiseaux, ils volent et d'un coup, tu as un grillage» : l'argumentation déconcertante de Sébastien Delogu contre les frontières Alain ROBERT/SIPA / © Alain ROBERT/SIPA

Sébastien Delogu fait de nouveau parler de lui. L’extrait d’une interview du député de La France insoumise (LFI) a récemment refait surface sur les réseaux sociaux. Il y a quatre mois, l’Insoumis a accordé un long entretien, diffusé sur Twitch, au média alternatif marseillais OVLM (Où va le monde ?). Dans la séquence, il a notamment fait part de son opposition aux frontières. « Je suis un peu “contre les frontières”. Pourquoi ? Parce que j’aimerais que les gens puissent aller où ils veulent dans n’importe quel pays dans le monde », a-t-il déclaré. L’élu d’extrême gauche a alors fait une comparaison qui a particulièrement fait réagir des internautes : « C’est comme si les oiseaux à la fin, ils volent et d'un coup, tu as un grillage et qu’on lui dise “Ah, frérot tu peux pas sortir de là, tu n'as pas le droit d'aller dans l'arbre en face. Excuse-nous, c’est pas la France”. C’est un peu bizarre. »

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 Sébastien Delogu raillé en ligne

La séquence a ressurgi sur les réseaux sociaux et a fait réagir de nombreux internautes. Jean Messiha a par exemple ironisé sur son compte X : « Pendant des décennies, la gauche nous avait habitués à un supplément d’âme. Le LFI Delogu, lui, nous apporte en permanence un supplément d’âne. » Il lui a alors rappelé en ces mots : « Mais frérot, les pays arabes et africains que tu chéris tant, ont des grillages partout. Du coup, pourquoi tu veux forcer les seuls Français à être des pigeons ? » 

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La journaliste Céline Pina a comparé Sébastien Delogu à un « Jean-Claude Van Damme du Palais Bourbon » : « Dès qu’il ouvre la bouche, il illustre cette citation d’Einstein : “Deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue.” » La chroniqueuse Zohra Bitan a de son côté plaisanté en estimant qu’« on a beaucoup de chance d’avoir Sébastien Delogu ». 

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