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Très active sur Internet, la communauté frontiste possède désormais son réseau social. Lespatriotes.net a été lancé jeudi 8 mai dans une relative discrétion, rapporte le Huffington Post, premier média à avoir révélé l'information. Le site n'a en effet fait l'objet d'aucune communication à part un tweet de Marion Maréchal Le Pen : "Découvrez sans plus tarder le premier réseau social militant patriote !" a gazouillé la députée.
L'objectif de la plateforme est de mobiliser les électeurs et de les convaincre de voter pour les listes frontistes lors des européennes. "Cette plateforme a pour vocation de réunir toutes les personnes souhaitant agir sur la Toile au service de la cause commune chère à ceux qui disent oui à la France", est-il écrit sur la page d'accueil du site, qui se décrit comme "le premier réseau social militant". Une présentation pas tout à fait exacte puisque l'UMP en avait lancé un, Le créateur des possibles, qui a fermé au bout d'un an. qui a fermé au bout d'un an, qui existe toujours.
"Convaincre les gens de venir avec nous"
"Avec ce site, on ne touche pas seulement des militants du parti", explique le vice-président du FN Florian Philippot au Huffington Post, avant d'ajouter : "Je pense que le nombre d'inscrits sur le site dépassera le nombre d'encartés." "Il s'agit de créer une émulation, réunir les articles d'une même mouvance sur une plateforme commune, repérer les sensibilités des gens et les convaincre de venir avec nous", confirme Donatien Véret, jeune cadre du parti dans le Val-d'Oise.
Sur le site, la photo de Marine Le Pen constitue le seul signe distinctif du parti d'extrême droite, qui aurait développé ce projet avec Riwal, l'agence de communication de Frédéric Chatillon, ancien président du GUD, qui collabore régulièrement avec le FN, selon les informations du Huffpost. Le site, qui affiche sur sa page d'accueil une mosaïque de photos de jeunes frontistes, semble connaître des bugs. Pour faire partie du site, il faut créer son compte comme sur n'importe quel réseau social. Et l'activité sur le site rapporte des points. Contacté par Le Point.fr, Florian Philippot n'a pas donné de suite. Il faudra attendre pour savoir qui est à l'origine du projet, et surtout pourquoi la communication a été si discrète de la part du parti.
Je crois comprendre que le FN n'est pas contre l'Europe. Simplement, et dans ce cas, je pense comme lui, il est contre cet amalgame de pays divers et variés qui n'ont en commun que leur monnaie, encore que celle-ci soit de valeur variable en fonction de ses représentants. Je pense qu'il serait bon de repenser l'Europe en la refondant sur un petit groupe de pays présentant des valeurs identiques. On sait très bien que des accords sont de plus en plus difficiles à trouver en fonction du nombre de participants. C'est, je pense, ce qui explique que cette Europe actuelle est si difficile à diriger. Il y aura toujours dans son sein un pays ou plusieurs qui ne seront pas d'accord pour appliquer telle loi ou directive. Alors il serait bon de commencer par le commencement et refonder une nouvelle Europe à cinq ou six avant de penser à y inclure un tas de pays qui n'ont rien à y faire sinon à quêter les subventions. Mais il serait dommage de démolir complètement cet édifice qui a quand même permis de tenir quelques 60 ans sans guerre entre nous. Il y a longtemps que ça n'était pas arrivé, n'est-ce pas ?
Messieurs,
Pourriez-vous avoir l'amabilité de rajouter : @lagruse devant le titre "AMOUR" du
de mon commentaire du I4/5/2014 à I3H 41 qui est en réalité une réponse. J'ai omis de le mentionner. Merci.
Grand parent.
Le politisme politique politisé politise la politique politicienne des politicards politisant...