Votre navigateur est obsolète. Veuillez le mettre à jour avec la dernière version ou passer à un autre navigateur comme ChromeSafariFirefox ou Edge pour éviter les failles de sécurité et garantir les meilleures performances possibles.

Passer au contenu principal

Sterling autorise son épouse à vendre les Los Angeles Clippers

Shelly, l'épouse de Donald Sterling, a le feu vert de son époux pour vendre les Los Angeles Clippers.

Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici.

À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.

Selon le site internet spécialisé dans les informations sur les célébrités TMZ, Sterling aurait pris cette décision après discussions avec ses avocats.

L'épouse de Sterling contrôle 50% des Los Angeles Clippers. Si elle décidait de vendre l'équipe californienne, l'affaire Sterling trouverait un épilogue plus rapide que ce qu'avaient prévu nombre d'observateurs, qui s'attendaient à une longue bataille judiciaire entre les Sterling et la NBA.

«Mme Sterling a toujours voulu trouver une solution paisible avec la NBA», a déclaré à TMZ son avocat Pierce O'Donnell.

La NBA a réagi à cette information en rappelant dans un bref communiqué que «le processus prévu par le règlement-fondateur de la NBA se poursuit en vue d'une cession des Los Angeles Clippers avec l'audition de Donald Sterling fixée au 3 juin».

Actionnaire minoritaire

De son côté, le Los Angeles Times a indiqué que Mme Sterling «désirait rester actionnaire minoritaire» des Clippers mais «qu'elle n'avait jamais songé à en devenir propriétaire» à 100%. La source non identifiée citée par le quotidien indique que Mme Sterling «apprécie simplement le fait d'assister aux matches des Clippers, de recevoir des amis et de faire partie de cette institution».

Sterling, un milliardaire de 80 ans, a été suspendu à vie par la NBA pour avoir proféré des propos racistes lors d'une conversation privée avec son assistante à qui il reprochait de «s'afficher avec des noirs».

La conversation enregistrée par la jeune femme avait été rendue publique par TMZ, ce qui avait déclenché une vague d'indignation aux Etats-Unis.

La NBA avait réagi vite et sans hésitation en décidant la suspension à vie de Sterling, en lui infligeant une amende de 2,5 millions de dollars et en recommandant un changement de propriétaire, mesure qu'elle peut obtenir avec l'accord des trois-quarts des autres propriétaires.

Depuis, Sterling a présenté ses excuses dans un entretien à la chaîne de télévision CNN et a assuré qu'il n'était pas raciste.

AFP