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Europe Écologie-Les Verts (EELV) a estimé lundi que François Hollande et Manuel Valls étaient "à côté de la plaque" au lendemain des élections européennes et que "la France a besoin d'un sursaut, pas de mesurettes". "Le Premier ministre, suite à la débâcle électorale, a fait un discours avec le ton des heures graves pour la République. La situation en effet l'exige : au lendemain d'une claque historique pour la gauche, le Premier ministre ne pouvait pas faire moins. Le seul problème est qu'il y avait le ton..., mais au fond rien d'autre ou pas grand-chose", écrivent dans un communiqué les deux porte-parole écologistes Julien Bayou et Sandrine Rousseau. "S'il y a une chose criante, évidente, massive qui ressort de ce scrutin, c'est la demande presque désespérée de changement, au niveau européen comme national, qu'elle s'exprime par le vote ou son absence", estime EELV.
"Alors monsieur le Premier ministre: la réponse qui consiste à vouloir baisser l'impôt sur le revenu apparaît d'une fadeur coupable par rapport à l'enjeu. D'autant que ceux qui ont voté FN sont en grande partie ouvriers, jeunes actifs ou chômeurs.... Ni les uns ni les autres ne payent d'impôts sur le revenu", expliquent-ils. Et d'implorer : "Messieurs le Premier ministre et le président, par pitié, entendez le besoin de changement : d'ambition européenne, de politique économique, fiscale, d'institutions, de personnel politique, de manière de fonctionner." "Les citoyens réclament haut et fort le retour de l'imagination au pouvoir : lançons la transition écologique, de grands projets européens, choisissons une économie au service des populations et des territoires, réinstaurons une politique de classe au profit des plus démunis, des plus faibles, engageons la VIe République", demandent-ils.
Politique libérale. Liberté. Égalité avec les fonctionnaires. Fraternité en supprimant les privilèges des monopoles d'état. C'est effectivement d'une politique Allemande ou Suisse que nous avons besoin, pas d'une copie de la Corée du Nord.
Ces gens qui ne s'intéressent qu'à l'argent n'ont aucune idée de ce qu'ils pourraient bien faire pour les Français. Tout progrès les révulse, ils le remplacent illico par l'impôt leur idée fixe étant de vivre à nos frais exactement comme autrefois en vacances chez Mamie, allaités et béats dans l'antan bio, abrités des terreurs enfantines. A part ça ils ne sont pas du tout à côté de la plaque.
Mais qui les écoute encore, ceux-là ?