MONDESyrie: Al-Qaïda reconnaît avoir décapité un rebelle par erreur

Syrie: Al-Qaïda reconnaît avoir décapité un rebelle par erreur

MONDELes djihadistes ont reconnu leur erreur...après avoir décapité l'homme...
A Alep en Syrie, le 11 septembre 2012. 
A Alep en Syrie, le 11 septembre 2012.  - Muhammed Muheisen/AP/SIPA
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Des djihadistes affiliés à Al-Qaïda en Syrie ont reconnu avoir décapité par erreur un rebelle pour l'avoir confondu avec un chiite irakien combattant aux côtés des troupes gouvernementales, a indiqué une ONG vendredi.

Al-Qaïda en Syrie

Des djihadistes affiliés à Al-Qaïda en Syrie ont reconnu avoir décapité par erreur un rebelle pour l'avoir confondu avec un chiite irakien combattant aux côtés des troupes gouvernementales, a indiqué une ONG vendredi.

décapité

Des djihadistes affiliés à Al-Qaïda en Syrie ont reconnu avoir décapité par erreur un rebelle pour l'avoir confondu avec un chiite irakien combattant aux côtés des troupes gouvernementales, a indiqué une ONG vendredi.

Mercredi, une vidéo diffusée sur internet a montré deux membres de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) exhibant la tête d'un homme barbu devant une foule à Alep, la métropole du Nord, affirmant qu'il s'agissait d'un chiite irakien qui combattait dans les rangs du président Bachar al-Assad.

«Quelques minutes après la diffusion, l'homme décapité a été identifié comme Mohammad Marrouche, un combattant d'Ahrar al-Cham», un des principaux groupes rebelles combattant le régime syrien, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'homme blessé était drogué

«L'EIIL a par la suite reconnu que le rebelle a été tué par erreur et arrêté un des deux hommes, un Tunisien, pour avoir commis la décapitation, le déférant devant leur tribunal islamique pour le juger», d'après l'OSDH. L'autre homme, originaire du Golfe, n'a pas été appréhendé.

Mohammad Marrouche avait été blessé dans des combats autour d'une base militaire à l'est d'Alep qui ont opposé récemment les rebelles et les jihadistes à l'armée syrienne, soutenue par le Hezbollah chiite libanais et le groupe Abou Fadl al-Abbas, des combattants chiites irakiens.

Il avait alors été transféré vers un hôpital de campagne à Alep où, drogué par les médicaments, il avait ressassé dans son délire les noms d'Ali et de Hussein, deux imams vénérés des chiites, selon Abou Abdel Rahmane «C'était la dernière chose qu'il avait entendue des combattants chiites avant qu'il ne soit blessé. Les deux hommes de l'EILL ont cru alors qu'il s'agissait d'un combattant chiite blessé et l'ont décapité», selon l'OSDH, qualifiant l'acte de «crime de guerre».

Alep

Mercredi, une vidéo diffusée sur internet a montré deux membres de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) exhibant la tête d'un homme barbu devant une foule à Alep, la métropole du Nord, affirmant qu'il s'agissait d'un chiite irakien qui combattait dans les rangs du président Bachar al-Assad.

«Quelques minutes après la diffusion, l'homme décapité a été identifié comme Mohammad Marrouche, un combattant d'Ahrar al-Cham», un des principaux groupes rebelles combattant le régime syrien, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'homme blessé était drogué

«L'EIIL a par la suite reconnu que le rebelle a été tué par erreur et arrêté un des deux hommes, un Tunisien, pour avoir commis la décapitation, le déférant devant leur tribunal islamique pour le juger», d'après l'OSDH. L'autre homme, originaire du Golfe, n'a pas été appréhendé.

Mohammad Marrouche avait été blessé dans des combats autour d'une base militaire à l'est d'Alep qui ont opposé récemment les rebelles et les jihadistes à l'armée syrienne, soutenue par le Hezbollah chiite libanais et le groupe Abou Fadl al-Abbas, des combattants chiites irakiens.

Il avait alors été transféré vers un hôpital de campagne à Alep où, drogué par les médicaments, il avait ressassé dans son délire les noms d'Ali et de Hussein, deux imams vénérés des chiites, selon Abou Abdel Rahmane «C'était la dernière chose qu'il avait entendue des combattants chiites avant qu'il ne soit blessé. Les deux hommes de l'EILL ont cru alors qu'il s'agissait d'un combattant chiite blessé et l'ont décapité», selon l'OSDH, qualifiant l'acte de «crime de guerre».


Mercredi, une vidéo diffusée sur internet a montré deux membres de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) exhibant la tête d'un homme barbu devant une foule à Alep, la métropole du Nord, affirmant qu'il s'agissait d'un chiite irakien qui combattait dans les rangs du président Bachar al-Assad.

«Quelques minutes après la diffusion, l'homme décapité a été identifié comme Mohammad Marrouche, un combattant d'Ahrar al-Cham», un des principaux groupes rebelles combattant le régime syrien, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'homme blessé était drogué

«L'EIIL a par la suite reconnu que le rebelle a été tué par erreur et arrêté un des deux hommes, un Tunisien, pour avoir commis la décapitation, le déférant devant leur tribunal islamique pour le juger», d'après l'OSDH. L'autre homme, originaire du Golfe, n'a pas été appréhendé.

Mohammad Marrouche avait été blessé dans des combats autour d'une base militaire à l'est d'Alep qui ont opposé récemment les rebelles et les jihadistes à l'armée syrienne, soutenue par le Hezbollah chiite libanais et le groupe Abou Fadl al-Abbas, des combattants chiites irakiens.

Il avait alors été transféré vers un hôpital de campagne à Alep où, drogué par les médicaments, il avait ressassé dans son délire les noms d'Ali et de Hussein, deux imams vénérés des chiites, selon Abou Abdel Rahmane «C'était la dernière chose qu'il avait entendue des combattants chiites avant qu'il ne soit blessé. Les deux hommes de l'EILL ont cru alors qu'il s'agissait d'un combattant chiite blessé et l'ont décapité», selon l'OSDH, qualifiant l'acte de «crime de guerre».


Mercredi, une vidéo diffusée sur internet a montré deux membres de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) exhibant la tête d'un homme barbu devant une foule à Alep, la métropole du Nord, affirmant qu'il s'agissait d'un chiite irakien qui combattait dans les rangs du président Bachar al-Assad.

«Quelques minutes après la diffusion, l'homme décapité a été identifié comme Mohammad Marrouche, un combattant d'Ahrar al-Cham», un des principaux groupes rebelles combattant le régime syrien, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'homme blessé était drogué

«L'EIIL a par la suite reconnu que le rebelle a été tué par erreur et arrêté un des deux hommes, un Tunisien, pour avoir commis la décapitation, le déférant devant leur tribunal islamique pour le juger», d'après l'OSDH. L'autre homme, originaire du Golfe, n'a pas été appréhendé.

Mohammad Marrouche avait été blessé dans des combats autour d'une base militaire à l'est d'Alep qui ont opposé récemment les rebelles et les jihadistes à l'armée syrienne, soutenue par le Hezbollah chiite libanais et le groupe Abou Fadl al-Abbas, des combattants chiites irakiens.

Il avait alors été transféré vers un hôpital de campagne à Alep où, drogué par les médicaments, il avait ressassé dans son délire les noms d'Ali et de Hussein, deux imams vénérés des chiites, selon Abou Abdel Rahmane «C'était la dernière chose qu'il avait entendue des combattants chiites avant qu'il ne soit blessé. Les deux hommes de l'EILL ont cru alors qu'il s'agissait d'un combattant chiite blessé et l'ont décapité», selon l'OSDH, qualifiant l'acte de «crime de guerre».


Mercredi, une vidéo diffusée sur internet a montré deux membres de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) exhibant la tête d'un homme barbu devant une foule à Alep, la métropole du Nord, affirmant qu'il s'agissait d'un chiite irakien qui combattait dans les rangs du président Bachar al-Assad.

«Quelques minutes après la diffusion, l'homme décapité a été identifié comme Mohammad Marrouche, un combattant d'Ahrar al-Cham», un des principaux groupes rebelles combattant le régime syrien, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'homme blessé était drogué

«L'EIIL a par la suite reconnu que le rebelle a été tué par erreur et arrêté un des deux hommes, un Tunisien, pour avoir commis la décapitation, le déférant devant leur tribunal islamique pour le juger», d'après l'OSDH. L'autre homme, originaire du Golfe, n'a pas été appréhendé.

Mohammad Marrouche avait été blessé dans des combats autour d'une base militaire à l'est d'Alep qui ont opposé récemment les rebelles et les jihadistes à l'armée syrienne, soutenue par le Hezbollah chiite libanais et le groupe Abou Fadl al-Abbas, des combattants chiites irakiens.

Il avait alors été transféré vers un hôpital de campagne à Alep où, drogué par les médicaments, il avait ressassé dans son délire les noms d'Ali et de Hussein, deux imams vénérés des chiites, selon Abou Abdel Rahmane «C'était la dernière chose qu'il avait entendue des combattants chiites avant qu'il ne soit blessé. Les deux hommes de l'EILL ont cru alors qu'il s'agissait d'un combattant chiite blessé et l'ont décapité», selon l'OSDH, qualifiant l'acte de «crime de guerre».


Mercredi, une vidéo diffusée sur internet a montré deux membres de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) exhibant la tête d'un homme barbu devant une foule à Alep, la métropole du Nord, affirmant qu'il s'agissait d'un chiite irakien qui combattait dans les rangs du président Bachar al-Assad.

«Quelques minutes après la diffusion, l'homme décapité a été identifié comme Mohammad Marrouche, un combattant d'Ahrar al-Cham», un des principaux groupes rebelles combattant le régime syrien, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'homme blessé était drogué

«L'EIIL a par la suite reconnu que le rebelle a été tué par erreur et arrêté un des deux hommes, un Tunisien, pour avoir commis la décapitation, le déférant devant leur tribunal islamique pour le juger», d'après l'OSDH. L'autre homme, originaire du Golfe, n'a pas été appréhendé.

Mohammad Marrouche avait été blessé dans des combats autour d'une base militaire à l'est d'Alep qui ont opposé récemment les rebelles et les jihadistes à l'armée syrienne, soutenue par le Hezbollah chiite libanais et le groupe Abou Fadl al-Abbas, des combattants chiites irakiens.

Il avait alors été transféré vers un hôpital de campagne à Alep où, drogué par les médicaments, il avait ressassé dans son délire les noms d'Ali et de Hussein, deux imams vénérés des chiites, selon Abou Abdel Rahmane «C'était la dernière chose qu'il avait entendue des combattants chiites avant qu'il ne soit blessé. Les deux hommes de l'EILL ont cru alors qu'il s'agissait d'un combattant chiite blessé et l'ont décapité», selon l'OSDH, qualifiant l'acte de «crime de guerre».


Mercredi, une vidéo diffusée sur internet a montré deux membres de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) exhibant la tête d'un homme barbu devant une foule à Alep, la métropole du Nord, affirmant qu'il s'agissait d'un chiite irakien qui combattait dans les rangs du président Bachar al-Assad.

«Quelques minutes après la diffusion, l'homme décapité a été identifié comme Mohammad Marrouche, un combattant d'Ahrar al-Cham», un des principaux groupes rebelles combattant le régime syrien, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'homme blessé était drogué

«L'EIIL a par la suite reconnu que le rebelle a été tué par erreur et arrêté un des deux hommes, un Tunisien, pour avoir commis la décapitation, le déférant devant leur tribunal islamique pour le juger», d'après l'OSDH. L'autre homme, originaire du Golfe, n'a pas été appréhendé.

Mohammad Marrouche avait été blessé dans des combats autour d'une base militaire à l'est d'Alep qui ont opposé récemment les rebelles et les jihadistes à l'armée syrienne, soutenue par le Hezbollah chiite libanais et le groupe Abou Fadl al-Abbas, des combattants chiites irakiens.

Il avait alors été transféré vers un hôpital de campagne à Alep où, drogué par les médicaments, il avait ressassé dans son délire les noms d'Ali et de Hussein, deux imams vénérés des chiites, selon Abou Abdel Rahmane «C'était la dernière chose qu'il avait entendue des combattants chiites avant qu'il ne soit blessé. Les deux hommes de l'EILL ont cru alors qu'il s'agissait d'un combattant chiite blessé et l'ont décapité», selon l'OSDH, qualifiant l'acte de «crime de guerre».

Sujets liés