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Ce lundi 20 novembre 2017 au soir, tous les regards, en Europe, sont tournés vers Bonn, où se joue un épisode inédit et inquiétant de l'histoire européenne. Tous ? Non. Martine Aubry, elle, ne décolère pas. Lille, sa ville, celle que lui a donnée en héritage l'ancien Premier ministre Pierre Mauroy, n'a pas été choisie pour héberger l'Agence européenne du médicament, appelée à quitter Londres pour cause de Brexit. La déception est compréhensible. L'amertume et l'agressivité sont embarrassantes : « C'est extrêmement désolant de ne pas avoir été défendus au plus haut niveau (…), malgré les derniers propos, il y a une semaine seulement, du président disant qu'il y mettrait tout son poids. J'espère qu'il ne l'a pas mis. Autrement, ce serait inquiétant sur son poids. Non, la vérité, c'est qu...
Qu'on la loge dans les oubliettes avec une bonne provision de gros rouge et surtout, que l'on soude bien la grille de fermeture pour être certain de ne plus la revoir, ni la lire, et encore moins l'entendre !
Sauf erreur, suite au Brexit, le pôle financier arrivera en France. Il est donc normal que les autres agences européennes s'installent hors de France dans un des pays membres de l'Europe. Que je sache, la France n'est pas l'Europe à elle toute seule. Un minimum d'humilité et de décence !
"has been" qui a fait beaucoup de mal à la France !