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La grâce présidentielle américaine est devenue l’objet d’un marché juteux

Aux dernières heures de son mandat, Donald Trump a dédouané 73 personnes, dont le sulfureux Steve Bannon. Mais un accès au pardon du patron, ça se vend cher aux Etats-Unis. On parle même de «trafic»

Donald Trump et Steve Bannon au temps de leur brève idylle, le 22 janvier 2017 à la Maison-Blanche. — © Mandel Ngan/AFP
Donald Trump et Steve Bannon au temps de leur brève idylle, le 22 janvier 2017 à la Maison-Blanche. — © Mandel Ngan/AFP

«C’est le grand jour!» s’exclame Heidi.news, en citant Le Monde. «La date et l’heure sont fixées dans l’article premier du 20e amendement de la Constitution américaine (ci-dessus): «Les mandats du président et du vice-président prennent fin à midi le 20 janvier. Pandémie du coronavirus, risques de violences partisanes élevés, Washington barricadée, c’est peu dire que la 59e cérémonie d’investiture de l’histoire des Etats-Unis se tiendra aujourd’hui (ou plutôt cette nuit) dans un contexte tendu.»

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